Un monde en pleine mutation

Dossier : Les métiers du conseilMagazine N°729 Novembre 2017
Par Jean-Philippe PAPILLON (90)

On a repro­ché aux consul­tants leur arro­gance ou leur faible uti­li­té. Main­te­nant les évo­lu­tions des métiers du conseil s’élargissent à de nom­breuses pres­ta­tions intel­lec­tuelles et englobent sans cesse des champs nou­veaux. C’est pour­quoi ce sec­teur d’activité res­te­ra plus que jamais pour­voyeur d’emplois à de nom­breux polytechniciens.

Voici quelques années que La Jaune et la Rouge n’avait plus consa­cré de dos­sier aux métiers du conseil. Pour­tant ce sec­teur d’activité reste plus que jamais pour­voyeur d’emplois à de nom­breux polytechniciens. 

Des DRH comme Laurent Choain, fin obser­va­teur exté­rieur de notre popu­la­tion de « cama­rades », expliquent même très sim­ple­ment pour­quoi le sec­teur d’activité cor­res­pond aux moti­va­tions de nombre d’entre nous. Un article à lire absolument. 

L’étude de cas reste un des fon­da­men­taux du métier et ce numé­ro en donne un exemple à tra­vers le trans­port aérien long-cour­rier low cost. 

Mais le plus impor­tant aujourd’hui est de com­prendre les évo­lu­tions des métiers du conseil qui, sous la pres­sion des demandes des entre­prises, s’élargissent à de nom­breuses pres­ta­tions intel­lec­tuelles et englobent sans cesse des champs nouveaux. 

Les cama­rades cadres diri­geants dans les plus grands cabi­nets sont dans des posi­tions pri­vi­lé­giées pour en témoi­gner car ils super­visent aujourd’hui des acti­vi­tés qu’ils n’avaient même pas ima­gi­nées il y a vingt ans quand ils ont rejoint leurs organisations. 

On reproche sou­vent aux consul­tants leur arro­gance ou leur faible uti­li­té. À cette ques­tion, Laurent Qui­vogne, membre de XMP-Consult, répond de façon sin­gu­lière : il nous explique que per­sonne n’a besoin d’un consul­tant après avoir défen­du sa convic­tion que le conseil est plus qu’une exper­tise technique. 

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