Finance d’entreprise et transformations stratégiques, les besoins clefs du marché du conseil

Dossier : Dossier FFEMagazine N°700 Décembre 2014
Par Bertrand BARET (87)
Par Pierrick VAUDOUR (97)

Quelle est votre vision de l’évolution du conseil et du positionnement d’EY ?

Bertrand Baret : Le marché du con­sult­ing change pro­fondé­ment. Nous obser­vons une forte pro­fes­sion­nal­i­sa­tion de nos clients, dont les attentes prin­ci­pales évolu­ent de l’analyse stratégique stric­to sen­su vers l’accompagnement opéra­tionnel de trans­for­ma­tions stratégiques.

EN BREF

EY est un des leaders mondiaux de l’audit, du conseil, des transactions, de la fiscalité et du droit.
EY rassemble 170 000 salariés dans plus de 150 pays.

Ce change­ment mar­que un besoin de gag­n­er en per­for­mance et en com­péti­tiv­ité, dans un envi­ron­nement économique qui néces­site de plus en plus d’agilité de leurs organisations.

EY au tra­vers d’une mar­que très forte, de son empreinte auprès des grands comptes mon­di­aux, de son réseau inter­na­tion­al, de la com­plé­men­tar­ité de ses dif­férents métiers et de sa cul­ture finan­cière et opéra­tionnelle focal­isée sur l’obtention de résul­tats con­crets est ain­si posi­tion­né de façon unique pour répon­dre à ces besoins qui représen­teront la crois­sance de demain du marché.

Quelles sont les opportunités et perspectives de carrière qu’offre EY à un X ?

Pier­rick Vau­dour : EY offre aux X un ter­rain de jeu sans fin dans la finance d’entreprise et le con­seil. Ceci com­plète par­faite­ment notre for­ma­tion d’Ingénieur et pré­pare au monde du Man­age­ment par l’expérience.

En 12 ans, j’ai décou­vert le monde de la finance d’entreprise sous toutes ses formes : audit légal, due dili­gences d’acquisition ou de ces­sion lors de trans­ac­tions, con­seil financier, mise en place d’outils de pilotage… Et ce à la fois pour des entre­pris­es glob­ales (CAC 40, SBF 120), des PMEs ou encore des fonds d’investissement, en France ou à l’étranger.

EY a d’ailleurs mis en place un pro­gramme pour « haut poten­tiel » pour favoris­er les par­cours var­iés au tra­vers de nos dif­férents métiers afin d’avoir demain des Man­agers et Asso­ciés mul­ti­dis­ci­plinaires « by design ».

J’ai la chance de m’occuper de ce pro­gramme, auquel cer­tains X par­ticipent (EY compte aujourd’hui 24 X dans ses équipes).

Comment se déclinent vos priorités à court et moyen termes au sein d’EY ?

Pier­rick Vau­dour : Mes pri­or­ités sont d’une part le développe­ment du Con­seil financier (report­ing, IPO, per­for­mance, etc.) et d’autre part de mieux faire con­naître à nos clients nos com­pé­tences sur le Big Data.

EY a réu­ni au fil du temps une équipe mul­ti­dis­ci­plinaire com­plète con­sti­tuée de sta­tis­ti­ciens, de math­é­mati­ciens dont un pro­fesseur de l’X, d’avocats spé­cial­istes « Pri­va­cy », d’experts sec­to­riels et de consultants.

Bertrand Baret : En ce qui con­cerne le con­sult­ing, nous sommes actuelle­ment dans une phase d’accélération de notre crois­sance qui passera par 160 à 170 recrute­ments cette année (de débu­tants à asso­ciés) – autant de belles oppor­tu­nités de car­rière pour des X — pour ren­forcer notre présence sec­to­rielle auprès de nos comptes pri­or­i­taires et notre exper­tise dans nos trois lignes de ser­vice : Stratégie, Busi­ness Con­sult­ing, Technologie.

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