Cérémonie de la passation du drapeau à la promotion 1998

Dossier : ExpressionsMagazine N°555 Mai 2000
La pro­mo­tion 1998 a reçu la garde du dra­peau. Au second plan, les cadets du Vir­gi­nia Mili­ta­ry Institute

La pro­mo­tion 1998 a reçu la garde du dra­peau. Au second plan, les cadets du Vir­gi­nia Mili­ta­ry Institute

La céré­mo­nie de la pas­sa­tion de la garde du dra­peau de la pro­mo­tion 1997 à la pro­mo­tion 1998 a eu lieu à l’É­cole le 8 mars 2000, sous la pré­si­dence du géné­ral d’an­née BILLOT. gou­ver­neur mili­taire de Paris.

Les hautes per­son­na­li­tés du dépar­te­ment de l’Es­sonne et le Maire de Palai­seau ont hono­ré celle céré­mo­nie de leur pré­sence, ain­si qu’une délé­ga­tion de cadets du Vir­gi­nia Mili­ta­ry Institute.

Au cours de la céré­mo­nie, plu­sieurs élèves ont reçu la médaille de bronze de la Défense nationale.

La céré­mo­nie mili­taire a été sui­vie de l’i­nau­gu­ra­tion de l’ex­po­si­tion » Louis Joseph Gay-Lus­sac « , X 1797, à la Biblio­thèque de l’École.

Enfin, plu­sieurs déco­ra­tions am été remises à des per­son­na­li­tés civiles, en par­ti­cu­lier la rosette d’of­fi­cier de la Légion d’hon­neur à Mon­sieur Jean-Louis BASDEVANT, pré­sident du Dépar­te­ment d’en­sei­gne­ment de phy­sique. Fai­sant réfé­rence à sa par­ti­ci­pa­tion, déter­mi­nante, au pro­jet d’é­vo­lu­tion du cur­sus des élèves à l’École, Mon­sieur J.-L. BASDEVANT a conclu son remer­cie­ment au pré­sident Pierre FAURRE dans ces termes :

» Ce que je gar­de­rai avant tout comme sou­ve­nir de cette aven­ture de l’an­née 1999. c’est l’ou­ver­ture et l’é­vo­lu­tion du dia­logue dans l’É­cole, que vous sou­hai­tiez lorsque vous m’a­vez confié cette mis­sion. Les dis­cus­sions sont deve­nues loyales, ouvertes, chaque opi­nion est écou­tée. On Sort fré­quem­ment d’une réunion avec une opi­nion dif­fé­rente de celle qu’on avait au début. sans que cela bou­le­verse le monde.

Remise de la médaille de bronze de la Défense nationale
Remise de la médaille de bronze de la Défense nationale

Cet esprit d’ou­ver­ture est de plus en plus pré­sent dans l’É­cole. Je crois qu’il est fon­da­men­tal dans le mes­sage que nous devons trans­mettre à nos élèves.

J’al­lais dire » Mes » élèves, car ils ont tant péné­tré et pas­sion­né ma vie, que je finis par me les approprier.

L’É­cole est faite de gens excep­tion­nels. C’est dans sa nature de conce­voir de grandes pers­pec­tives. Je suis heu­reux de consta­ter qu’elle le fait »

Le soir, au grand amphi­théâtre Poin­ca­ré, des élèves de la pro­mo­tion 1997 ont joué Le Malade ima­gi­naire. Les huit acteurs qui se par­ta­geaient les rôles méritent d’être chau­de­ment féli­ci­tés. Leur pres­ta­tion, vive­ment emme­née par celle des deux rôles prin­ci­paux, nous a fait oublier que nous n’a­vions pas devant nous des comé­diens professionnels.

Et nous cite­rons aus­si les cinq musi­ciens, élèves de la même pro­mo­tion, qui ont joué du Vival­di en ouver­ture, pen­dant les entractes et en conclu­sion de celle représentation.

Un très grand mer­ci à tous les orga­ni­sa­teurs de cette jour­née pour la haute tenue et la réus­site de l’en­semble des manifestations.

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