Transition énergétique : la donnée est clé

Les ques­tions envi­ron­ne­men­tales sont aujourd’hui au cœur des pré­oc­cu­pa­tions de cha­cun, par­ti­cu­lier ou entre­prise. C’est bien et ras­su­rant. Cepen­dant elles posent au moins deux grandes ques­tions qui le sont moins, ras­su­rantes : le diag­nos­tic – quel est le pro­blème ? gaz à effet de serre (GES, CO₂ et méthane essen­tiel­le­ment), pol­lu­tion, épui­se­ment des res­sources (eau, matières pre­mières, ani­maux…), bio­di­ver­si­té… ; les actions – que faire pour réduire notre impact ? fru­ga­li­té, décrois­sance, opti­mi­sa­tion, pro­grès tech­nique, choix avisés ?

Per­son­nel­le­ment, j’ai tou­jours été sur­pris par le faible consen­sus et le carac­tère poli­tique des débats autour de l’écologie. Mal­gré les conseils scien­ti­fiques (GIEC, etc.), les Science Based Tar­gets, les débats sont sans fin et très émo­tion­nels. Il est vrai que le sujet est com­plexe, entre enjeux à court terme, dura­bi­li­té à (très) long terme, choix de socié­té, confiance dans le pro­grès tech­no­lo­gique, etc. C’est donc un sujet de pré­di­lec­tion pour notre com­mu­nau­té poly­tech­ni­cienne ! Ce sujet a d’ailleurs été trai­té sous cer­tains aspects dans les colonnes de La Jaune et la Rouge. Par culture et défor­ma­tion pro­fes­sion­nelle, en tant qu’associé du cabi­net ele­ven, spé­cia­li­sé dans les révo­lu­tions numé­riques et des don­nées, je vous pro­pose d’aborder le sujet sous cet angle. En effet, sur les deux ques­tions, la don­née est clé.

“Proposer des solutions concrètes, applicables, souvent rentables.”

Pour diag­nos­ti­quer évi­dem­ment, en mesu­rant, en com­pre­nant notre impact, en le com­mu­ni­quant, puis en iden­ti­fiant et hié­rar­chi­sant les causes, afin de s’attaquer aux plus impac­tantes. Pour agir aus­si, là encore en mesu­rant (vous obte­nez les résul­tats que vous mesu­rez), mais aus­si en opti­mi­sant. La data science, l’intelligence arti­fi­cielle pour uti­li­ser le mot à la mode, peut très for­te­ment aider à opti­mi­ser nos actions : inno­va­tion ; concep­tion de bâti­ments, de pro­duits plus effi­caces ; opti­mi­sa­tion des pro­ces­sus de pro­duc­tion, logis­tiques et ventes, pour être plus éco­nomes ; allon­ge­ment de la durée de vie des actifs, grâce à une meilleure gestion.

Nous avons fait appel à des experts ancrés dans l’opérationnel pour cadrer et creu­ser ces sujets. Sans être exhaus­tifs, nous abor­de­rons dif­fé­rents aspects des plus macro aux plus ciblés, afin de vous pro­po­ser des solu­tions concrètes, appli­cables, sou­vent ren­tables, qui – nous l’espérons – pour­ront vous inspirer.

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