Témoignages

Dossier : Le Groupe toulousain des XMagazine N°652 Février 2010

Un centenaire qui se porte bien

Les pre­miers doc­u­ments his­toriques, soigneuse­ment trans­mis de tré­sori­er à tré­sori­er, remon­tent à novem­bre 1913. Un pré­cieux cahi­er d’é­col­i­er, à la cou­ver­ture car­ton­née avec une éti­quette ” Groupe toulou­sain X — Cahi­er de Recettes et Dépens­es “, cou­vre la péri­ode 1913–1953. Le GTX est prob­a­ble­ment plus ancien, puisque le pre­mier cahi­er com­mence par ” 1er décem­bre 1913 — En caisse, reçu du Cdt… 242,00 “.

Deux autres cahiers suiv­ent jusqu’en 1997 où l’in­for­ma­tique a pris le dessus, puis créa­tion d’un site en 2002 http://gtx.polytechnique.org/ notam­ment grâce au sup­port de l’As­so­ci­a­tion polytechnique.org.

Sur le site a été com­mencée une exploita­tion his­torique et humoris­tique des archives, sous le nom de ” GTX con­nec­tion ” http://gtx.polytechnique.org/gtxconnection/

Michel Dorrer

Sainte-Barbe à la Sainte-Barbe

La Sainte-Barbe 2009 a eu lieu le ven­dre­di 4 décem­bre 2009. Le Bureau a réus­si la per­for­mance qu’elle tombe exacte­ment le jour de la Sainte-Barbe !

Elle a eu lieu à Toulouse intra-muros, au restau­rant La Cendrée.Nous étions finale­ment 72 après l’ar­rivée des derniers retar­dataires. Nous avons eu le plaisir de compter huit nouveaux.

Les pro­mos s’éch­e­lon­naient ain­si de la 43, notre doyen de séance Mau­rice Besnard, à la 2004, avec Flo­rence Louis et Romain Nicolas.

Michel Dorrer

La femme toujours fatale

Très forte afflu­ence pour cette con­férence sur la femme fatale au xixe siè­cle, avec près de 50 par­tic­i­pants GTX, dont une majorité fémi­nine inhab­ituelle dans nos dîn­ers-con­férences. Notre con­féren­cière, Mireille Dot­tin-Orsi­ni, nous a promenés pen­dant une petite heure dans les fan­tasmes mas­culins de la Femme fatale, représen­tés par les pein­tres dits ” pom­piers ” de la fin du xixe siè­cle, avec moult détails. On entendait d’ailleurs au fond de la salle cer­tains retar­dataires se deman­dant avec regret com­bi­en de superbes pein­tures ils avaient ratées. Atten­tion, la femme fatale — même si elle est beau­coup moins présente — con­tin­ue à exis­ter à l’époque actuelle !

Emmanuel Ajdari

Soirée chocolat

A la chocolaterie

18 par­tic­i­pants à la vis­ite de la choco­la­terie Criol­lo, à Saint-Pierre-de-Lages. Criol­lo n’est pas le nom du patron, mais la plus estimée par­mi dif­férentes espèces de cacaoy­er. Le choco­lati­er, un expert, nous a beau­coup appris sur l’his­toire du choco­lat avant de nous faire déguster quelques var­iétés ” appel­la­tion d’o­rig­ine con­trôlée “, où, comme dans les grands crus, les spé­cial­istes ont cru recon­naître des notes flo­rales, de la noisette, etc.

Michel Dorrer

Un demi-siècle en raquettes

Nous étions finale­ment trente-qua­tre. Mais cette afflu­ence n’a posé aucun prob­lème car le par­cours était sans aucun risque ; il n’y avait pas d’en­cadrement tech­nique à assurer.

Mélange de généra­tions, on comp­tait, de la pro­mo 1952 à la 2002 : un demi-siè­cle d’écart.

Le temps assez riant au départ nous a un peu trahis sur la fin : retour des nuages lorsque nous avons atteint la crête nous pri­vant du panora­ma escompté.

Les deux luges emportées ont bien rem­pli leur rôle, et servi à la fois d’aigu­il­lon et de défoule­ment pour les enfants. Les plus grands n’ont pas man­qué de faire une giga­bataille de boules-de-neige, y com­pris une ten­ta­tive de tir sur l’or­gan­isa­teur (votre serviteur).

Philippe Chenevier

Sortie canyoning

Le sché­ma est main­tenant bien rodé : départ en fin d’après-midi du ven­dre­di pour arriv­er dans une auberge entre 21 heures et 23 heures à Arcusa. Héberge­ment dans trois cham­bres et deux dortoirs.

Le same­di, canyon­ing pour cer­tains (16 adultes et un grand enfant), prom­e­nade en mon­tagne pour les autres, notam­ment les deux petites familles et maman et bébé Berdoulat. Les deux équipes se rejoignent à la sor­tie du canyon pour fêter nos valeureux aven­turi­ers et partager les pique-niques, avec quelques sur­pris­es dues à des bidons non étanch­es qui se sont rem­plis pen­dant le par­cours dans l’eau.

Mer­ci à Charles Pujos (81) dont l’ex­per­tise a per­mis cette aventure.

Philippe Chenevier

Visite de l’usine d’assemblage de l’A-380

Avec notre guide-con­férenci­er Patrick Téje­dor, nous avons vis­ité l’u­sine Lagardère, prin­ci­pale­ment la chaîne d’assem­blage des A‑380 ; les trois tronçons du fuse­lage, les ailes, la dérive, l’empennage.

Tout est gigan­tesque, à la mesure de l’avion qui fait plus de 550 tonnes au décol­lage, près de 80 mètres d’en­ver­gure, 73 de long… Sa hau­teur de 24 mètres est celle d’un immeu­ble de 9 étages ! À terme, un A‑380 sera pro­duit par semaine.

Nous nous sommes ren­dus à la halle de Lévi­gnac pour voir pass­er le con­voi : deux nuits et demie de Lan­gon à Cornebar­rieu via Eauze et L’Isle-Jour­dain ; ce soir-là il y avait qua­tre camions, avec leur remorque à géométrie vari­able (afin de pou­voir ren­tr­er par l’au­toroute) pour trans­porter un empen­nage et un fuselage.

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