Page de publicité pour Clear Channel

Nous voulons être le lien entre le citoyen et la ville, le consommateur et la marque

Dossier : Dossier FFEMagazine N°727 Septembre 2017
Par Emmanuel POTTIER

Cet arti­cle est paru dans le numéro Hors Série lié au numéro 727, à l’oc­ca­sion du Grand Mag­nan 2017. Dans la ver­sion numérique il est lié aux autres arti­cles FFE du numéro 727 

Quel est le cœur de métier de Clear Channel ?

Clear Chan­nel est un acteur de la com­mu­ni­ca­tion extérieure qui com­mer­cialise des sup­ports de com­mu­ni­ca­tion dans le domaine pub­lic et privé. 

Con­crète­ment, nous com­mer­cial­isons des espaces pub­lic­i­taires à tra­vers dif­férents for­mats (mobili­er urbain, abri-voyageurs, totems dig­i­taux…) aux annon­ceurs à tra­vers les con­ces­sions ou les con­trats dont nous dis­posons dans le domaine privé (Klepierre, Uni­bail Rodam­co, Keo­lis, les métros…) et pub­lic (les villes et les col­lec­tiv­ités locales). 

Nos clients ont voca­tion à faire cam­pagne sur le tout le ter­ri­toire français à un niveau nation­al ou local. 

Ain­si, aujourd’hui, Clear Chan­nel emploie 1050 per­son­nes en France et réalise un chiffre d’affaires supérieur à 250 mil­lions d’euros. Nous opérons plus de 2000 écrans dig­i­taux dans les cen­tres com­mer­ci­aux français et exploitons près de 115 000 faces pub­lic­i­taires en France. 

Comment s’articule votre relation avec les villes et les collectivités locales ?

Dans le cadre de notre approche, nous con­sid­érons nos concédants/bailleurs comme des clients : il s’agit d’une optique de sat­is­fac­tion, de co-inno­va­tion et de rela­tions partenariales. 

Aujourd’hui, les villes ont des prob­lé­ma­tiques qui évolu­ent forte­ment : forte urban­i­sa­tion, besoin de nou­veaux ser­vices, développe­ment de la démoc­ra­tie par­tic­i­pa­tive, réin­ven­tion de la rela­tion avec la col­lec­tiv­ité, nou­veaux moyens de com­mu­ni­ca­tion avec le citoyen, essor des réseaux soci­aux et des médias digitaux. 

Ain­si, nous col­laborons, par exem­ple, avec une start-up qui nous per­met de com­pren­dre et d’appréhender l’opinion publique à tra­vers une appli­ca­tion mobile. C’est un exem­ple de ser­vice, mais cela per­met d’engager un dia­logue avec les citoyens et les acteurs de la vie locale dans une optique de réin­ven­tion de la ville et de ses inter­ac­tions avec les citoyens. 

Qu’en est-il dans le secteur du privé ?

Nous restons dans la logique de ren­con­tre que nous retrou­vons d’ailleurs dans notre sig­na­ture : « Where brands meet peo­ple ». En effet, nous facili­tons la ren­con­tre entre les con­som­ma­teurs et les mar­ques à tra­vers la publicité. 

Nous nous adap­tons aux défis et aux besoins des mar­ques, de nos clients, pour leur pro­pos­er des cam­pagnes de pub­lic­ité tou­jours plus inno­vantes afin de garan­tir l’engagement des consommateurs. 

Nous con­tribuons donc à la con­struc­tion de la rela­tion entre les mar­ques et leurs consommateurs. 

Quels sont les enjeux auxquels vous êtes confrontés ?

Face à la mul­ti­pli­ca­tion des sup­ports médias, nous adap­tons notre offre et nos solu­tions. Pour cela, nous nous appuyons sur des organ­i­sa­tions extrême­ment agiles et un tra­vail d’accompagnement visant à sen­si­bilis­er nos clients sur les solu­tions les plus adap­tées à leurs besoins. 

Au niveau de la ville, nous tra­vail­lons aux côtés des villes et des grands bailleurs afin de con­tin­uer à avancer sur la ques­tion de la con­struc­tion de la ville intel­li­gente de demain. Et pour les acteurs privés, nous les aidons à faire des cen­tres com­mer­ci­aux des lieux de vie tout en faisant la pro­mo­tion de la qual­ité des audiences. 

Enfin, nous sommes aus­si con­fron­tés à la dig­i­tal­i­sa­tion de nos sup­ports, notam­ment via les écrans dig­i­taux. De plus en plus, nous devenons un média de rebond qui per­met aux cam­pagnes de s’amplifier sur les réseaux sociaux. 

Et pour conclure ?

Nous voulons être une entre­prise écosys­témique ouverte sur son envi­ron­nement. Ce posi­tion­nement implique un effort quo­ti­di­en pour aller à la ren­con­tre d’entreprises de toutes tailles et de tout secteur. 

Con­necter le non con­nec­té (secteurs et métiers) s’avère par­ti­c­ulière­ment payant dans des indus­tries comme la nôtre, qui doivent se réin­ven­ter de manière continue.
 

Poster un commentaire