Miser (vraiment) sur la transition écologique

Dossier : Arts, Lettres et SciencesMagazine N°695 Mai 2014Par : Alain GRANDJEAN (75) et Hélène Le TENO, préface de Nicolas HULOTRédacteur : Guillaume De SMEDT (95)Editeur : Paris – Les Éditions de l’Atelier/ Éditions Ouvrières – 2014 – 51-55, rue Hoche, 94200 Ivry-sur-Seine. Tél. : 01 45 15 20 20

Vu d’aujourd’hui, le futur n’apparaît que rarement rose, sauf peut-être dans quelques pro­fes­sions de foi lors d’élection !

Heureuse­ment, les auteurs de Miser (vrai­ment) sur la tran­si­tion écologique sont là pour nous rap­pel­er que si le futur n’est certes pas rose – et ils ne man­quent pas de point­er les dif­fi­cultés qu’accompagne néces­saire­ment un pro­jet aus­si ambitieux que chang­er la société – il pour­rait bien être vert.

Le con­stat est main­tenant bien établi, les chances d’être sur le scé­nario over­shoot and col­lapse du fameux rap­port du Club de Rome ne sont jamais apparues aus­si élevées, et pour­tant, c’est sur l’autre scé­nario qu’il nous faut « miser », c’est-à-dire avant tout mobilis­er nos éner­gies autour de pro­jets con­crets, sans atten­dre ni un hypothé­tique Grand Soir, ni un homme providentiel.

Se lancer, expéri­menter, pour in fine déjouer l’idée qu’il n’y a pas d’alternative.

Les pistes exis­tent. Les auteurs, en explo­rateurs de la Tran­si­tion, ont com­mencé à en dress­er des cartes comme autant d’outils qu’il faut main­tenant s’approprier !

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