Les ponts routiers sur la Loire en Touraine

Dossier : Arts, Lettres et SciencesMagazine N°522 Février 1997Par : Pierre TESSONNEAU (34)

Si con­tenir un fleuve aus­si peu retenu que la Loire est une entre­prise de très longue haleine, le franchir en est une non moins passionnante.

Et ce n’est que depuis moins de deux siè­cles que les moyens tech­niques et la puis­sance mécanique ont per­mis de résoudre ce prob­lème avec des espérances de vie de plus en plus longues.

En Touraine, à par­tir du début du XIXe siè­cle, on a con­stru­it et recon­stru­it une ving­taine d’ouvrages sur dix sites dif­férents. L’auteur en dresse ici une fresque his­torique en la pla­cant dans son con­texte tech­nique et humain, remon­tant pour cela au Moyen Âge et l’évoquant jusqu’à nos jours.

Il nous racon­te les ponts sur la Loire avec pas­sion, pré­ci­sion et humour : le pont Wil­son, les ponts de Langeais et de Port- Boulet, les ponts de fil de Tours et les ponts d’Amboise, celui de l’A10 et le pont Mirabeau, sans oubli­er ceux plus récents du boule­vard périphérique et de Cinq-Mars-la- Pile, se voient ain­si décrits par un homme de l’art.

Homme de prospec­tive, I’auteur livre en ter­mi­nant sa con­vic­tion du bien-fondé de la con­struc­tion d’un nou­veau pont urbain à Tours.

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