La coopération entre la France et Israël dans le domaine de l’environnement

Dossier : IsraëlMagazine N°537 Septembre 1998
Par Olivier HERZ (X79)

La coopération scientifique entre la France et Israël

La coopération scientifique entre la France et Israël

La coopé­ra­tion scien­ti­fique entre la France et Israël est un baro­mètre du cli­mat poli­tique et consti­tue aujourd’­hui le moteur des rela­tions entre les deux pays. À cet égard, la pre­mière visite minis­té­rielle après le chan­ge­ment de gou­ver­ne­ment de 1993 fut celle du ministre char­gé de la recherche, Fran­çois Fillon. Lors de sa visite en Israël à la fin de 1996, le Pré­sident de la Répu­blique a lui-même rap­pe­lé, dans l’en­ceinte pres­ti­gieuse du Tech­nion de Haï­fa, que la coopé­ra­tion scien­ti­fique consti­tue l’un des aspects essen­tiels des rela­tions entre la France et Israël. Les accords signés entre la France et Israël ont per­mis ces der­nières années un accrois­se­ment très impor­tant des moyens consa­crés à la coopé­ra­tion scien­ti­fique et tech­no­lo­gique entre les deux pays. À l’oc­ca­sion de la visite du Pré­sident de la Répu­blique, les deux ministres char­gés de la recherche ont conve­nu de ren­for­cer cette coopé­ra­tion dans le cadre du 4e PCRD.
La France est aujourd’­hui le troi­sième par­te­naire scien­ti­fique d’Is­raël, der­rière les États-Unis et l’Al­le­magne. La qua­li­té des équipes israé­liennes et l’in­té­rêt des recherches qu’elles conduisent per­mettent de prendre le pari de faire de notre pays le pre­mier par­te­naire scien­ti­fique euro­péen d’Is­raël. Ce pari est certes ambi­tieux, il vaut la peine d’être lan­cé. Sa réus­site sup­pose que les moyens maté­riels que nos deux pays consacrent à leur coopé­ra­tion scien­ti­fique ne fai­blissent pas. Elle repose éga­le­ment sur notre capa­ci­té à mobi­li­ser les pro­grammes euro­péens et à y occu­per toute notre place.
Sur le plan ins­ti­tu­tion­nel, cette coopé­ra­tion s’illustre prin­ci­pa­le­ment par le finan­ce­ment de pro­jets bila­té­raux, l’oc­troi de bourses d’é­tudes, la mise en place de « coopé­rants scien­ti­fiques » et la par­ti­ci­pa­tion finan­cière à des col­loques et congrès, dont les prin­ci­paux élé­ments sont décrits ci-après.

L’As­so­cia­tion fran­co-israé­lienne pour la recherche scien­ti­fique et tech­no­lo­gique (Afirst) sou­tient en per­ma­nence quatre grands pro­grammes de recherche prio­ri­taires. Deux pro­grammes sont en cours depuis le début de l’an­née 1995, l’un en immu­no­lo­gie et l’autre sur les maté­riaux. Deux autres ont été lan­cés à l’au­tomne 1996, l’un dans le domaine des auto­routes et tech­no­lo­gies de l’in­for­ma­tion, l’autre dans le domaine de la ges­tion de l’eau et de la bio­re­mé­dia­tion. Les thèmes prio­ri­taires de ce der­nier pro­gramme sont les indi­ca­teurs bio­lo­giques de la pol­lu­tion de l’eau, la dégra­da­tion micro­bienne des molé­cules xéno­bio­tiques, l’u­ti­li­sa­tion des sols agri­coles pour l’a­mé­lio­ra­tion de la qua­li­té des eaux, la pro­tec­tion et le trai­te­ment des res­sources en eaux super­fi­cielles et sou­ter­raines, le trai­te­ment bio­lo­gique et phy­si­co­chi­mique des eaux usées. Sept pro­jets, cou­vrant quatre des cinq thèmes pro­po­sés dans l’ap­pel d’offres, ont été sélec­tion­nés en 1996 ; cette sélec­tion s’est faite sur l’a­dé­qua­tion aux thèmes de l’ap­pel d’offres et sur les pers­pec­tives de valo­ri­sa­tion à moyen terme.

Le pro­gramme Arc-en-Ciel (Keshet en hébreu) per­met de finan­cer des échanges de visites entre cher­cheurs fran­çais et israé­liens dans le cadre de pro­jets de recherche com­muns. La sélec­tion des pro­jets tient compte de leur qua­li­té scien­ti­fique et de leur carac­tère inno­vant, de la com­plé­men­ta­ri­té des équipes et des pers­pec­tives de col­la­bo­ra­tion à plus long terme, ain­si que, éven­tuel­le­ment, des pers­pec­tives de déve­lop­pe­ment tech­no­lo­gique inté­res­sant un par­te­naire indus­triel. En 1996, 44 pro­jets ont été sélec­tion­nés sur les 117 demandes jugées recevables.

Le sys­tème de bourses Cha­teau­briand, fonc­tion­nant entre la France et les États-Unis, a été élar­gi à Israël en 1988. Il per­met à de jeunes cher­cheurs israé­liens, soit en cours de PhD, soit juste après – post-doc -, d’ef­fec­tuer un séjour d’en­vi­ron neuf mois dans un orga­nisme de recherche fran­çais. Celui-ci peut être, soit une uni­ver­si­té ou une grande école, soit un orga­nisme de recherche public ou éven­tuel­le­ment privé.

Le pro­gramme de coopé­rants du Ser­vice natio­nal finance par­tiel­le­ment des séjours de quinze à seize mois de jeunes cher­cheurs fran­çais dans des labo­ra­toires israéliens.

Le pro­gramme de coopé­ra­tion inter­na­tio­nale de la Confé­rence des Grandes Écoles vise à rap­pro­cher les meilleurs cher­cheurs des grandes écoles fran­çaises et des plus grandes uni­ver­si­tés étran­gères dont les six uni­ver­si­tés israé­liennes. L’ob­jec­tif est triple : valo­ri­ser leur poten­tiel scien­ti­fique com­mun, favo­ri­ser un par­te­na­riat « science-indus­trie » en impli­quant les indus­triels et assu­rer l’ef­fi­ca­ci­té des échanges d’é­tu­diants et de thésards.

Entre 5 et 10 col­loques scien­ti­fiques fran­co-israé­liens sont cofi­nan­cés chaque année par le minis­tère fran­çais des Affaires étran­gères et le minis­tère israé­lien de la Science.

Par ailleurs, la plu­part des orga­nismes de recherche fran­çais ont des accords de coopé­ra­tion avec des par­te­naires israéliens.

La coopé­ra­tion scien­ti­fique entre la France et Israël se déve­loppe éga­le­ment à tra­vers l’Eu­rope dans le cadre de pro­grammes com­mu­nau­taires, par exemple d’aide à la mobi­li­té des chercheurs.

Par ailleurs, la coopé­ra­tion en recherche appli­quée est le fait de l’As­so­cia­tion fran­co-israé­lienne pour la recherche indus­trielle et l’in­no­va­tion (Afi­rii). Créée en avril 1995 et pré­si­dée par Fran­cis Mer, PDG d’U­si­nor-Saci­lor, elle vise à encou­ra­ger par des moyens bud­gé­taires appro­priés le par­te­na­riat entre les entre­prises fran­çaises et israé­liennes en matière de R&D indus­trielle et d’in­no­va­tion ; elle a éga­le­ment pour tâche de coor­don­ner l’ac­tion des orga­nismes spé­cia­li­sés dans les divers domaines de la recherche et du déve­lop­pe­ment indus­triel dans chaque pays.
En outre, l’A­gence natio­nale pour la valo­ri­sa­tion de la recherche (Anvar) et son homo­logue israé­lien, l’Of­fice of the Chief Scien­tist (OCS) du minis­tère de l’In­dus­trie et du Com­merce, ont signé en février 1994 un accord de coopé­ra­tion en vue de sou­te­nir et mul­ti­plier des par­te­na­riats tech­no­lo­giques entre PME fran­çaises et israé­liennes. Ce pro­gramme est doté de 30 mil­lions de francs.
Enfin, un pro­to­cole finan­cier de par­te­na­riat de 80 mil­lions de francs a été signé en novembre 1993 entre le Tré­sor fran­çais et Israël. Ali­men­té à pari­té par les deux pays, un bud­get est affec­té à l’oc­troi de prêts à des entre­prises des deux natio­na­li­tés qui s’as­so­cie­ront pour réa­li­ser des pro­jets com­muns valo­ri­sant des pro­grammes fran­co-israé­liens de recherche fon­da­men­tale appliquée.

Le partenariat économique entre la France et Israël

L’i­so­le­ment géo­gra­phique d’Is­raël le pousse à mul­ti­plier les contacts, notam­ment avec l’Eu­rope. Pour­tant, les entre­prises fran­çaises se sont long­temps tenues à l’é­cart du mar­ché israé­lien et de ses cinq à six mil­lions de consom­ma­teurs. Il y a peu, à peine une demi-dou­zaine de groupes fran­çais avaient pignon sur rue par le biais de filiales, alors même que près de 70 filiales de socié­tés israé­liennes étaient pré­sentes dans l’Hexa­gone. La France, 4e puis­sance expor­ta­trice mon­diale, n’é­tait que le 8e four­nis­seur d’Is­raël et son 6e client – envi­ron 5 % de son com­merce exté­rieur -, loin der­rière des pays comme l’I­ta­lie et la Belgique.
Cette situa­tion a évo­lué avec le pro­ces­sus de paix. La pre­mière visite en Israël d’un pré­sident du CNPF a eu lieu en mai 1994. À l’oc­ca­sion de son voyage de quatre jours, la délé­ga­tion menée par Fran­çois Péri­got avait été reçue par Yitz­hak Rabin. Dans le domaine de l’en­vi­ron­ne­ment, des par­te­na­riats se sont déve­lop­pés, par­ti­cu­liè­re­ment en matière d’eau et de déchets. Sou­hai­tons qu’ils soient sui­vis par beau­coup d’autres.
Le contexte se prête bien à des par­te­na­riats indus­triels en matière de recherche et déve­lop­pe­ment dans le domaine de l’en­vi­ron­ne­ment : à part les quelques domaines qui ont été bien déve­lop­pés en rai­son des inté­rêts du pays – éner­gie solaire, recy­clage de l’eau, des­sa­le­ment de l’eau de mer -, Israël est dési­reux d’ac­croître son savoir-faire indus­triel dans le domaine de l’environnement.

La visite ministérielle de Corinne Lepage en Israël

Corinne Lepage, ministre de l’En­vi­ron­ne­ment de l’é­poque, a eu elle-même l’oc­ca­sion d’ef­fec­tuer une visite en Israël fin mars début avril 1996. Comme pour ses autres dépla­ce­ments à l’é­tran­ger, elle avait tenu à être accom­pa­gnée d’une délé­ga­tion com­po­sée d’in­dus­triels fran­çais du sec­teur des éco-indus­tries : ils étaient au nombre de 11, grands groupes comme PME.
À l’oc­ca­sion de cette mis­sion, Corinne Lepage a pu ren­con­trer le Pre­mier ministre de l’é­poque, Shi­mon Per­es, et a eu des entre­tiens appro­fon­dis avec son homo­logue, Yos­si Sarid. À cette occa­sion, les deux ministres ont pro­cé­dé à un échange de vues por­tant sur la pro­mo­tion des pro­grammes bila­té­raux et mul­ti­la­té­raux de recherche dans les domaines d’in­té­rêt com­mun, ain­si que sur l’en­cou­ra­ge­ment de la coopé­ra­tion dans les pro­jets inté­res­sant l’en­vi­ron­ne­ment dans le cadre de la région de la Médi­ter­ra­née et du Moyen-Orient. Ils ont en par­ti­cu­lier évo­qué les domaines de recherche sui­vants : le recy­clage des effluents après trai­te­ment, la sta­bi­li­sa­tion des déchets, la pol­lu­tion atmo­sphé­rique, l’en­vi­ron­ne­ment urbain, la décon­ta­mi­na­tion des sols – en met­tant l’ac­cent sur les sols salins -, la pré­ven­tion de l’é­ro­sion et des mou­ve­ments de terrain.
Les deux ministres ont expri­mé leur désir de créer un cadre propre à encou­ra­ger davan­tage la recherche envi­ron­ne­men­tale et se sont enga­gés à unir leurs efforts pour réunir à cette fin des concours finan­ciers. Ils ont éga­le­ment confir­mé leur volon­té d’en­cou­ra­ger les acti­vi­tés de coopé­ra­tion pour la pro­tec­tion de la région médi­ter­ra­néenne dans le cadre du Plan d’Ac­tion Médi­ter­ra­née et du pro­gramme euro­péen MEDA, s’a­jou­tant à la pro­mo­tion des acti­vi­tés envi­ron­ne­men­tales conjointes dans le cadre de la Qua­trième Ini­tia­tive de l’U­nion européenne.
Ils ont trans­crit ces pro­pos à tra­vers la signa­ture le 31 mars 1996 d’une décla­ra­tion d’in­ten­tion com­mune, dans laquelle ils ont éga­le­ment indi­qué la volon­té de leurs gou­ver­ne­ments de conclure un accord bila­té­ral de coopé­ra­tion dans le domaine de la pro­tec­tion de l’environnement.
S’a­gis­sant des déchets, le minis­tère israé­lien de l’En­vi­ron­ne­ment attend de pou­voir appré­cier le fonc­tion­ne­ment de l’in­ci­né­ra­teur danois du centre de trai­te­ment des déchets indus­triels de Ramat Hovav. Il envi­sage par la suite de dis­po­ser de deux ou trois inci­né­ra­teurs qui contri­bue­raient à la fer­me­ture, déjà bien avan­cée, des décharges d’or­dures ména­gères. M. Sarid a par ailleurs évo­qué l’é­ven­tua­li­té de coopé­ra­tions tri­la­té­rales France-Israël-auto­ri­té pales­ti­nienne, par exemple en matière de trai­te­ment des déchets, ou encore France-Israël-Jor­da­nie pour le contrôle de la pol­lu­tion dans le golfe d’Aqaba.
Enfin, les deux ministres ont déci­dé la créa­tion d’un groupe bila­té­ral char­gé de faire des pro­po­si­tions d’ac­tion concrètes. Le minis­tère israé­lien de l’En­vi­ron­ne­ment a pro­po­sé que ce groupe traite des sujets sui­vants : ges­tion des déchets, trai­te­ment des eaux usées domes­tiques et recy­clage des effluents, recherche envi­ron­ne­men­tale et pol­lu­tion marine. Corinne Lepage a pro­po­sé d’y ajou­ter deux sujets : sur­veillance de la qua­li­té de l’air et trai­te­ment des eaux usées indus­trielles. L’en­vi­ron­ne­ment devient le second sec­teur pour lequel il existe un dia­logue ins­ti­tu­tion­nel actif entre la France et Israël1.

Le séminaire sur les technologies avancées de l’environnement

Un pro­gramme de deux jour­nées s’est dérou­lé les 11 et 12 février 1997 sous le par­rai­nage du minis­tère israé­lien de l’In­dus­trie et du Com­merce, du minis­tère israé­lien de l’En­vi­ron­ne­ment, du minis­tère fran­çais de l’En­vi­ron­ne­ment et de l’am­bas­sade de France en Israël. Deux évé­ne­ments avaient été regrou­pés pour des rai­sons pra­tiques : un sémi­naire sur la réha­bi­li­ta­tion des sols conta­mi­nés, orga­ni­sé par la Chambre de com­merce et d’in­dus­trie Israël-France et une confé­rence d’af­faires2 sur les tech­no­lo­gies avan­cées pour l’en­vi­ron­ne­ment, orga­ni­sée par le CFME-Actim, l’A­fi­rii et Mati­mop3.
Ces deux évé­ne­ments s’ins­crivent en suite directe de la visite de Corinne Lepage en Israël. La plu­part des socié­tés qui avaient accom­pa­gné le Ministre étaient éga­le­ment pré­sentes, dont cer­taines ont pu déve­lop­per leur acti­vi­té4.
Israël dis­pose d’une recherche uni­ver­si­taire de pointe dans le domaine de la pol­lu­tion des sols – migra­tion des pol­luants… -, mais accuse un retard impor­tant dans le domaine de la réha­bi­li­ta­tion des sols pol­lués, tant au niveau ins­ti­tu­tion­nel qu’au niveau tech­no­lo­gique. Le pays se trouve dans la situa­tion où était la France au début des années 80, c’est-à-dire qu’il découvre le pro­blème après un déve­lop­pe­ment indus­triel peu sou­cieux de l’en­vi­ron­ne­ment. Le cadre se prête donc bien au déve­lop­pe­ment de par­te­na­riats indus­triels dans ce domaine.
Les résul­tats du sémi­naire en sont la preuve : 102 par­ti­ci­pants côté israé­lien5 et 36 côté fran­çais6.
La confé­rence d’af­faires a débu­té par une ouver­ture de haut niveau7. Une table ronde a per­mis à cha­cun de pré­sen­ter sa socié­té et ses centres d’in­té­rêt et a été sui­vie de ren­dez-vous indi­vi­duels. Au plan qua­li­ta­tif, cette confé­rence d’af­faires est un suc­cès : 16 socié­tés fran­çaises ; une cin­quan­taine de socié­tés israé­liennes ; plus de 180 ren­dez-vous indi­vi­duels – de 4 à 19 par socié­té fran­çaise, 11 en moyenne. À titre de com­pa­rai­son, une confé­rence d’af­faires sur les télé­com­mu­ni­ca­tions, orga­ni­sée quelques mois aupa­ra­vant par Mati­mop et l’An­var, n’a­vait réuni que 3 socié­tés fran­çaises, alors que 55 socié­tés étaient pressenties.
La confé­rence d’af­faires sera aus­si cer­tai­ne­ment un suc­cès quant à ses suites : près d’une dizaine de contacts stra­té­giques ont d’ores et déjà pu être iden­ti­fiés et des demandes de finan­ce­ment ont été dépo­sées à l’Afirii.

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1. Le pre­mier sec­teur a été celui des finances, avec la mise en place d’un groupe de tra­vail infor­mel suite à la visite de Jean Arthuis en mars 1996 ; il existe aus­si des contacts et coopé­ra­tions dans les domaines du tou­risme, des télé­com­mu­ni­ca­tions et des transports.
2. Il s’a­gis­sait d’une pre­mière : la confé­rence d’af­faires consti­tue une nou­velle orien­ta­tion du CFME-Actim à la suite de la réor­ga­ni­sa­tion du dis­po­si­tif fran­çais du com­merce exté­rieur. Il est signi­fi­ca­tif que cette pre­mière confé­rence d’af­faires ait eu lieu dans le domaine de l’environnement.
3. Mati­mop est le centre de l’in­dus­trie israé­lienne pour la recherche et déve­lop­pe­ment ; il a été fon­dé par l’as­so­cia­tion des indus­triels israé­liens et par l’as­so­cia­tion des indus­tries des kibboutz.
4. Le groupe Lyon­naise des Eaux a depuis jan­vier 1997 un repré­sen­tant per­ma­nent en Israël et Sarp Indus­tries a pris une par­ti­ci­pa­tion à Ramat Hovav, comme indi­qué plus haut.
5. 13 ins­ti­tu­tion­nels, 14 repré­sen­tants de col­lec­ti­vi­tés locales, 9 jour­na­listes, 7 repré­sen­tants locaux du groupe Géné­rale des Eaux et 60 repré­sen­tants d’autres sociétés.
6. 14 ins­ti­tu­tion­nels ins­tal­lés en Israël, 5 ins­ti­tu­tion­nels venus de France et 17 repré­sen­tants d’entreprises.
7. Le nou­veau Chief Scien­tist du minis­tère de l’In­dus­trie et du Com­merce, Dr. Orna Ber­ry, le Chief Scien­tist du minis­tère de l’En­vi­ron­ne­ment, Prof. Uri Min­gel­grin, le Com­mis­saire à l’Eau, Meir Ben-Meir, et le Pré­sident israé­lien de l’A­fi­rii, Lucien Bronicki.

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