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La banque patrimoniale d’AXA Banque : créateur de vos solutions patrimoniales

Dossier : Dossier FFEMagazine N°713 Mars 2016
Par Marc LEGARDEUR

Pourquoi le groupe AXA a‑t-il créé au sein d’AXA Banque la Direction de la Banque Patrimoniale ?

Il y a six ans, nous avons pris la déci­sion de créer une entité de Banque Pat­ri­mo­ni­ale afin de com­pléter l’offre de la Ges­tion Privée et d’être au côté de nos clients les plus fortunés.

Notre com­pag­nie avait l’ambition d’élargir ses ser­vices afin de pro­pos­er à sa clien­tèle haut de gamme des solu­tions sur l’ensemble de ses besoins.

Quelle est la spécificité de votre activité ?

Nos solu­tions évolu­ent avec nos clients et leur organ­i­sa­tion patrimoniale.

“ LA BANQUE PATRIMONIALE D’AXA BANQUE SOUHAITE CRÉER UN PARTENARIAT AVEC POLYTECHNIQUE POUR ACCUEILLIR DES STAGIAIRES ”, EXPLIQUE MARC LEGARDEUR.

Avec la Ges­tion Privée, nous cher­chons à créer des solu­tions pat­ri­mo­ni­ales en s’intéressant autant à l’actif qu’au pas­sif de nos clients à un instant T, mais aus­si dans le temps.

La Banque Pat­ri­mo­ni­ale d’AXA Banque pro­pose une offre de place­ments ban­caires, de crédits et de ser­vices de qual­ité en lien avec les attentes de ses clients.

À combien se monte le ticket d’entrée au sein de votre offre patrimoniale ?

Notre offre s’adresse aux clients dont l’assiette à l’ISF est supérieure à 3 mil­lions d’euros. Il n’existe pas de « tick­et d’entrée financier ». La rai­son est sim­ple : cer­tains clients doivent dis­pos­er d’un ser­vice alors même qu’ils n’ont pas tou­jours la capac­ité d’épargner à un instant T.

Un ticket d’entrée n’était-il pas un bon critère de sélection ?

Les chefs d’entreprise et les pro­prié­taires de pat­ri­moine immo­bili­er con­séquent, par exem­ple, sont poten­tielle­ment rich­es, mais n’ont pas tou­jours de liq­uid­ités placées dans les ban­ques et les com­pag­nies d’assurance.

En créant un fil­tre d’accès, nous auri­ons oublié les clients qui sont en phase de con­sti­tu­tion d’un pat­ri­moine financier.

Quels sont les critères que vous prenez en compte dans la gestion du patrimoine de vos clients ?

Qu’il soit le fruit d’un tra­vail, d’investissement ou encore d’une trans­mis­sion, le pat­ri­moine mérite une atten­tion toute par­ti­c­ulière. Il doit être géré en fonc­tion des évo­lu­tions fis­cales et per­son­nelles de chaque client.

C’est pour cela que nous tra­vail­lons en étroite col­lab­o­ra­tion avec la ges­tion Privée d’AXA pour con­solid­er l’approche actif/passif tout au long de la rela­tion avec nos clients.

Nous connaissons tous le poids de la fiscalité. Quelles sont les modifications personnelles qui peuvent interférer dans la gestion d’un patrimoine ?

Trans­met­tre un pat­ri­moine était aupar­a­vant plutôt fis­cale­ment favor­able. Depuis quelques années, nous sommes entrés dans une autre dimension.

La ges­tion de la trans­mis­sion devient un critère impor­tant, essen­tiel pour les pat­ri­moines élevés et doit être anticipée pour ne pas subir une tax­a­tion trop lourde.

Là aus­si, nous tra­vail­lons avec les experts de la Ges­tion privée qui ont fait de la trans­mis­sion d’entreprise le coeur de leur métier.

La gestion du patrimoine est aussi la recherche de complément de revenus…

Oui, tout à fait. Le com­plé­ment de revenus peut être recher­ché au béné­fice de notre client, mais aus­si pour ses descen­dants et aujourd’hui pour ses ascendants.

C’est une com­posante essen­tielle désor­mais des approches pat­ri­mo­ni­ales compte tenu du risque de longévité et du besoin d’organiser sa trans­mis­sion. Les clients ne doivent pas tout trans­met­tre et penser à assur­er leur pro­pre besoin de revenus.

Pour les ascen­dants… vrai­ment ? Avec l’allongement de la durée de vie, avec des retraites en baisse et des prob­lèmes de dépen­dance, cer­tains clients sont amenés à gér­er leur pat­ri­moine en fonc­tion de la pro­tec­tion de leurs ascendants.

C’est un fait nou­veau que nous voyons appa­raître dans les claus­es béné­fi­ci­aires des con­trats d’assurance ou encore dans l’usufruit du pat­ri­moine immobilier.

Voilà des critères déterminants dans la gestion patrimoniale.
En existe-t-il un tout dernier ?

On peut rajouter l’internationalisation de la ges­tion du pat­ri­moine. Toute­fois, il ne s’agit pas d’aller à l’international pour rechercher des solu­tions, mais il s’agit d’être capa­ble d’accompagner la mobil­ité de nos clients !

Dis­pos­er d’une vision glob­ale du pat­ri­moine et être capa­ble avec les con­seils du client, d’analyser les dif­férentes straté­gies et con­séquences de cette mobilité.

AXA Ges­tion Privée pro­posera d’ailleurs à par­tir de sep­tem­bre 2016 un con­trat lux­em­bour­geois d’assurance-vie de notre fil­iale AXA Wealth Europe.

Qu’entendez-vous par une approche globale du patrimoine ?

Beau­coup de nos con­frères sont plutôt dirigés vers la ges­tion d’actifs. Nous sommes dans une banque où, au con­traire nous avons à la fois des activ­ités d’assurances et bancaires.

En béné­fi­ciant de nos ser­vices, le client peut dis­pos­er lors d’un seul ren­dez-vous et dans un seul endroit des com­pé­tences en finance et assur­ance de nos con­seillers. Il béné­ficiera ain­si d’une ges­tion trans­ver­sale de son patrimoine.

Le terme « patrimonial » de la Direction d’AXA Banque qualifie-t-il le cœur de votre banque, c’est-à-dire le crédit ?

Au sein d’AXA Banque, notre direc­tion porte le nom de Banque Pat­ri­mo­ni­ale. En optant pour ce terme « pat­ri­mo­ni­al », nous souhaitions qual­i­fi­er par­faite­ment le cœur de notre méti­er qui est d’offrir des ser­vices et des pro­duits dédiés à la clien­tèle haut de gamme : place­ments ban­caires et bien sûr crédits.

Pourquoi est-il important d’avoir une vision crédit dans la gestion de son patrimoine ?

Le crédit est l’un des élé­ments majeurs dans notre développement.

“ NOUS AVONS EU LA CHANCE CETTE ANNÉE DE COMPTER UN X DANS NOS ÉQUIPES. CE FUT UNE TRÈS GRANDE RICHESSE POUR NOUS ET, JE L’ESPÈRE, POUR LUI. D’AILLEURS UN DES MEMBRES DU COMITÉ DE DIRECTION D’AXA BANQUE, EMMANUEL RAMÉ EST UN ANCIEN ÉLÈVE DE LA PROMOTION 83 ”.

C’est un out­il qui per­met de créer des solu­tions pat­ri­mo­ni­ales pour nos clients. Il peut être par­ti­c­ulière­ment utile dans le paiement de droits de trans­mis­sion et tout au long de la créa­tion de son patrimoine.

Avez-vous un autre exemple ?

Dans le cas de la vente d’une entre­prise, l’acheteur pour­ra éviter de pay­er la total­ité de la trans­ac­tion. Il étalera dans le temps le paiement pour des raisons qui lui appartiennent.

Dans ce genre de cas, notre direc­tion met­tra en place une garantie actif/passif qui sécuris­era d’un côté l’acquéreur et qui per­me­t­tra de l’autre côté au vendeur de touch­er totale­ment le prix de la vente.

Quelle est votre force par rapport aux banques privées d’affaires ?

Notre force est dans notre réseau d’Agents Généraux d’assurance AXA. Ces 3 000 agents sont en per­ma­nence au con­tact des clients.

Ces agents sont-ils les meilleurs relais pour rappeler ce que vous proposez ?

Ils sont nos meilleurs inter­locu­teurs pour expli­quer à leurs clients que notre struc­ture peut répon­dre à la total­ité de leurs besoins grâce à nos ser­vices et pro­duits patrimoniaux.

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