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Avec nous rien que pour vous

Dossier : Dossier FFEMagazine N°713 Mars 2016
Par Gabriel ESCHBACH

Pouvez-vous nous expliquer quel est votre savoir-faire ?

ACE Finance & Conseil pro­pose du conseil en inves­tis­se­ment finan­cier et en ges­tion de patri­moine. Elle apporte la métho­do­lo­gie de l’investisseur ins­ti­tu­tion­nel com­plé­tée par la vision et la com­pé­tence du pro­fes­sion­nel de la finance.

Qui peut venir vous consulter ?

Un peu tout le monde, aus­si bien des par­ti­cu­liers que des entre­prises. Avec cette pré­ci­sion : tous nos clients sont des per­sonnes phy­siques qui, eux-aus­si, ont une his­toire professionnelle.

« Avec nous rien que pour vous »
est votre slogan. Qu’entendez-vous par là ?

Par cette approche que nous jugeons sti­mu­lante et inno­vante, nous met­tons le client au cœur de nos préoccupations.

Il convient tou­jours de gérer le patri­moine en fonc­tion du poten­tiel du por­te­feuille d’investissement.

Comment voyez-vous l’évolution de votre métier de conseil en investissement financier et de gestion en patrimoine ?

“ NOUS DEVONS ÊTRE EN PHASE AVEC LES GRANDES TENDANCES ÉCONOMIQUES. NOTRE TRAVAIL EST DE COMPRENDRE LE MONDE, LA MACRO ET LA MICROÉCONOMIE, LES GRANDS CHANGEMENTS, L’ÉVOLUTION DES DEVISES, LA VARIABILITÉ DES COURS DU PÉTROLE ET DES MATIÈRES PREMIÈRES ”.

Nous sommes des gérants de for­tune. Notre pro­fes­sion consiste à appor­ter un conseil indé­pen­dant. Il nous appar­tient d’assister nos clients et de leur appor­ter des réponses per­ti­nentes face aux inno­va­tions finan­cières et légis­la­tives de plus en plus complexes.

Quels conseils apportez-vous ?

Notre mis­sion est mul­tiple. Elle consiste à étu­dier la situa­tion finan­cière du client, à dres­ser un bilan de son patri­moine et à lui pro­po­ser une stra­té­gie adap­tée à ses objectifs.

Quelles sont vos méthodes ?

En fonc­tion des aléas éco­no­miques, les déci­sions d’investissement sont sou­vent prises sous l’emprise de l’émotion et donc for­cé­ment inadaptées.

Notre entre­prise est dans une démarche beau­coup plus ration­nelle. Elle donne la pos­si­bi­li­té à nos clients de prendre conscience de la notion de risque.

Ce qui n’empêche pas de votre part un travail important de recherche.

Il est néces­saire quand il s’agit de bâtir des por­te­feuilles d’investissement ren­tables en adé­qua­tion avec la prise de risque acceptée.

Quel est votre champ d’intervention ?

Notre champ d’intervention est néces­sai­re­ment large. Il couvre l’ensemble des actifs finan­ciers et immo­bi­liers : les titres de par­ti­ci­pa­tions (actions), de créances (obli­ga­tions), l’acquisition de biens et les ins­tru­ments de couverture.

Plus précisément, qu’en est-il pour l’investissement financier ?

Nous appré­cions les carac­té­ris­tiques de ren­ta­bi­li­té, de risque et de liqui­di­té de chaque inves­tis­se­ment pour construire des por­te­feuilles adap­tés aux pro­fils de chaque investisseur.

Pour cette rai­son, nous uti­li­sons le modèle de ges­tion de por­te­feuille déve­lop­pé par Fran­çois Lon­gin (pro­fes­seur de finance à ESSEC Busi­ness School).

Gabriel Eschbach

“ NOS CLIENTS ONT SURTOUT BESOIN DE COMPRENDRE LEURS INVESTISSEMENTS. MAIS IL EST VRAI QUE BEAUCOUP D’ENTRE EUX ONT ENCORE DU MAL À ASSIMILER LA NOTION DE RISQUE. ET POURTANT, NOUS LEUR PERMETTONS D’ACCÉDER À DE RÉELLES OPPORTUNITÉS FINANCIÈRES ”.

Quelle est votre approche dans l’investissement immobilier ?

Pour appré­cier chaque pla­ce­ment, c’est sen­si­ble­ment la même démarche que pré­cé­dem­ment. Il convient de prendre conscience que les inves­tis­se­ments immo­bi­liers sont réa­li­sés sur du long terme.

Nous éta­bli­rons un busi­ness plan pour créer de la valeur.

Vous pilotez donc le patrimoine de manière très prudente…

C’est par la qua­li­té de nos inves­tis­se­ments que nous rédui­sons le risque. Notre stra­té­gie consiste à mener le patri­moine dans un che­min de croissance.

Ce n’est pas un jeu, nous recher­chons un ren­de­ment net d’inflation des capi­taux investis.

Avez-vous l’impression que les investisseurs ont conscience des risques ?

Nos clients ont sur­tout besoin de com­prendre leurs inves­tis­se­ments. Mais il est vrai que beau­coup d’entre eux ont encore du mal à assi­mi­ler la notion de risque.

Et pour­tant, nous leur per­met­tons d’accéder à de réelles oppor­tu­ni­tés financières.

En allant vers tous les investissements possibles…

Il existe envi­ron 12 000 fonds com­mer­cia­li­sés sur la France et le Luxem­bourg et près de 500 000 pro­duits d’investissement dans le monde entier.

Nous les appré­hen­dons tous dans la mesure où nous dis­po­sons des outils qui nous per­mettent de les ana­ly­ser en pro­fon­deur. Tou­te­fois, la véri­table pro­blé­ma­tique réside dans l’interprétation des données.

Tenez-vous compte de la situation économique mondiale dans votre approche ?

Oui, bien sûr, nous devons être en phase avec les grandes ten­dances éco­no­miques. Notre tra­vail consiste à com­prendre le monde, la macro et la microé­co­no­mie, les grands chan­ge­ments, l’évolution des devises, la varia­bi­li­té des matières premières.

Quel est votre regard sur le système financier ?

L’État, les ins­ti­tu­tions doivent jouer un rôle essen­tiel dans l’élaboration de réformes, dans la sur­veillance et le contrôle des risques. Ils doivent contri­buer à régu­ler et sta­bi­li­ser l’économie.

Aujourd’hui, nous arri­vons à une période de notre his­toire où il est essen­tiel de répar­tir plus jus­te­ment les richesses entre les hommes. C’est de la com­pé­tence des ins­ti­tu­tions, mais aus­si du devoir moral de cha­cun d’entre nous.

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