LSN Assurances : des solutions sur-mesure à haute valeur ajoutée

Quel est votre positionnement sur le marché de l’assurance ?

LSN Assu­rances est un cour­tier d’assurances de niches qui réa­lise un chiffre d’affaires d’environ qua­rante mil­lions d’euros et qui emploie 200 personnes. 

Fon­dée il y a plus de 60 ans, LSN Assu­rances est avant tout une PME fami­liale. Nous nous carac­té­ri­sons par une forte culture entre­pre­neu­riale, une cer­taine agi­li­té et des valeurs humaines fortes que nous nous effor­çons de vivre au quotidien. 

Cette dimen­sion nous per­met, d’ailleurs, de fidé­li­ser nos clients et de créer une rela­tion de confiance qui s’inscrit dans la durée. Nous avons des com­pé­tences recon­nues sur le risque de res­pon­sa­bi­li­té civile, ain­si que la pro­tec­tion san­té et la prévoyance. 

Nous avons aus­si déve­lop­pé une exper­tise en cour­tage de réas­su­rance, un posi­tion­ne­ment assez aty­pique pour une entre­prise de notre taille, grâce à nos actuaires capables de pro­po­ser des solu­tions inno­vantes, notam­ment via le biais de mon­tage de captives. 

Par­mi nos clients, nous comp­tons, entre autres, l’ensemble des notaires de France depuis plu­sieurs décen­nies, Syn­tec Numé­rique et ses membres, des bureaux d’étude tech­nique en construc­tion et des mutuelles d’assurances.

Au cours des dernières années, le monde de l’assurance a été fortement impacté par la digitalisation. Comment est-ce que vous appréhendez cette dimension ?

La digi­ta­li­sa­tion du monde du cour­tage a favo­ri­sé l’apparition d’un nou­veau canal de dis­tri­bu­tion sur le mar­ché des par­ti­cu­liers et des TPE. 

Nous sommes peu pré­sents sur ces mar­chés et ser­vons géné­ra­le­ment une clien­tèle qui recherche des solu­tions sur-mesure. Nos clients entre­prises recherchent en prio­ri­té un conseil et un contact avec un expert technique. 

Néan­moins, dans le cadre de la ges­tion de la rela­tion qu’ils entre­tiennent avec nous, ils sont deman­deurs d’outils plus digi­taux. L’enjeu est donc de pou­voir répondre à ces attentes en met­tant en place des outils qui vont faci­li­ter la ges­tion de la rela­tion client au quo­ti­dien. Notre focus est donc d’optimiser nos outils pour amé­lio­rer notre rela­tion client et la qua­li­té du ser­vice rendu. 

Cela implique plus de trans­pa­rence avec la pos­si­bi­li­té d’accéder faci­le­ment à ses contrats et ses sinistres et plus d’automatisation pour réduire les tâches à faible valeur ajou­tée et ain­si valo­ri­ser la par­tie conseil, exper­tise et accom­pa­gne­ment surmesure. 

Sur le long terme, l’évolution conti­nue des solu­tions digi­tales et le déve­lop­pe­ment de l’intelligence arti­fi­cielle pour­raient lais­ser la place à de nou­veaux outils capables de répondre à des pro­blé­ma­tiques clients plus complexes. 

Quels sont les sujets qui vous mobilisent à l’heure actuelle ?

Nous sommes régu­liè­re­ment confron­tés à l’apparition de nou­veaux risques. La digi­ta­li­sa­tion n’a pas seule­ment fait évo­luer notre métier, elle a per­mis à de nou­veaux risques d’émerger : les cyberrisques. 

Notre enjeu est donc de pro­po­ser des solu­tions adé­quates en nous entou­rant des com­pé­tences et des exper­tises néces­saires avec des recru­te­ments, et de la for­ma­tion. Le digi­tal impacte aus­si la mobi­li­té de nos équipes : nous devons être tou­jours plus proches de nos clients, notam­ment au niveau des équipes de pla­ce­ment et de ges­tion. Plus qu’un enjeu tech­nique, il s’agit avant tout d’un enjeu humain et de management. 

Enfin, alors que la qua­li­té de ser­vice est une pro­blé­ma­tique récur­rente sur laquelle nous res­tons mobi­li­sés, nous sommes aus­si face à une régle­men­ta­tion de plus en plus stricte et en per­pé­tuelle évolution. 

Et pour conclure, vos perspectives ?

Nous avons la volon­té de conti­nuer à nous déve­lop­per en assu­rance dans les pro­fes­sions du chiffre et du droit, dans le sec­teur du numé­rique et des nou­velles tech­no­lo­gies, dans le domaine des bureaux d’étude tech­nique et de la construc­tion et en réas­su­rance pour conti­nuer à accom­pa­gner les mutuelles et les assu­reurs afin de les aider à élar­gir leur gamme de pro­duits sans expo­ser leurs fonds propres.

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