Laboratoire ORGATECH de l'École polytechnique

Le Centre de recherche, un pilier de l’École polytechnique et de NewUni

Dossier : L'École polytechniqueMagazine N°735 Mai 2018
Par Benoît DEVEAUD (71)

L’É­cole appuie son ensei­gne­ment sur un Centre de recherche ins­tal­lé dans ses locaux. En par­te­na­riat avec les grands orga­nismes de recherche fran­çais, celui-ci ren­force les liens avec les par­te­naires de NewU­ni et main­tient sa col­la­bo­ra­tion avec l’U­ni­ver­si­té Paris-Saclay. Il rayonne à l’in­ter­na­tio­nal et a des liens forts avec les entre­prises. Mais l’at­trac­ti­vi­té repose sur l’excellence des tra­vaux de recherche et les 22 labo­ra­toires de l’X sont recon­nus au plan mondial. 

Au‑delà de sa proxi­mi­té avec l’École, le Centre de recherche a pour mis­sion de tra­duire les résul­tats d’une recherche menée au meilleur niveau dans cha­cune des dis­ci­plines, en alliant l’approfondissement des aspects les plus fon­da­men­taux de la recherche pour le pro­grès des connais­sances au déve­lop­pe­ment de grands domaines plus appli­qués qui répon­dront aux enjeux scien­ti­fiques, tech­no­lo­giques et socié­taux du XXIe siècle. 

Un écosystème en mutation

Construit au cours d’une his­toire longue de quatre-vingts ans et en col­la­bo­ra­tion avec les grands orga­nismes de recherche, au pre­mier rang des­quels le CNRS – mais aus­si le CEA, l’Inserm, l’Inria –, le Centre de recherche a for­te­ment contri­bué aux évo­lu­tions récentes de son envi­ron­ne­ment proche sur le pla­teau de Saclay. 

Ses équipes ont été pré­sentes dès l’origine dans de nom­breuses struc­tures de regrou­pe­ment géo­gra­phique des forces de recherche, telles que les réseaux thé­ma­tiques de recherches avan­cées comme le Tri­angle de la phy­sique, les Grou­pe­ments d’intérêt scien­ti­fique comme « La phy­sique des deux infi­nis », ou encore au sein de pôles de com­pé­ti­ti­vi­té comme System@tic.

REPÈRES

Comme tous les grands établissements d’enseignement, l’École polytechnique appuie son enseignement sur une recherche de pointe, menée pour l’essentiel dans les laboratoires de son Centre de recherche.
L’intérêt de cette proximité pour l’École polytechnique est de fournir à tous les niveaux de son enseignement, jusqu’au doctorat, un environnement proche d’une recherche au meilleur niveau dans toutes les disciplines enseignées, de façon à donner à ses élèves la culture scientifique et les connaissances que nécessitent les responsabilités qu’ils auront à assumer.

L’X partenaire de plusieurs équipements et laboratoires d’excellence

Les labo­ra­toires de l’X sont éga­le­ment impli­qués dans les diverses décli­nai­sons du pro­gramme d’investissements d’avenir dans le domaine de la recherche avec de nom­breux par­te­naires du pla­teau de Saclay. 

L’École poly­tech­nique s’est ain­si impli­quée dans neuf pro­jets « Équi­pe­ments d’excellence ». Ces pro­jets visent à per­mettre aux labo­ra­toires fran­çais d’acquérir des équi­pe­ments scien­ti­fiques de pointe afin de réa­li­ser des tra­vaux de recherche au meilleur niveau mon­dial, au ser­vice de l’accroissement des connais­sances et de l’innovation.

La recherche de l’X au sein de NewUni

Ces syner­gies font de l’École poly­tech­nique un par­te­naire essen­tiel du pla­teau de Saclay, et la stra­té­gie du Centre de recherche éta­blie ces der­nières années dans le cadre de la construc­tion de l’Université Paris-Saclay a per­mis d’y créer des bases solides de col­la­bo­ra­tion avec les dif­fé­rents acteurs de la recherche. 

“L’ouverture internationale est au cœur de notre stratégie”

La réorien­ta­tion du pro­jet par la créa­tion de deux pôles uni­ver­si­taires dis­tincts, annon­cée par le Pré­sident de la Répu­blique en octobre der­nier, per­met­tra à l’École poly­tech­nique et à son Centre de recherche de ren­for­cer plus encore les liens avec leurs par­te­naires au sein du consor­tium NewU­ni, tout en main­te­nant les coopé­ra­tions scien­ti­fiques avec l’Université Paris-Saclay. 

Dans le contexte inter­na­tio­nal hau­te­ment com­pé­ti­tif de l’enseignement supé­rieur et de la recherche, la construc­tion de NewU­ni sur le modèle d’une uni­ver­si­té de sciences et tech­no­lo­gies est une étape clef pour atteindre une sta­ture de rang mondial. 

Rayonner à l’international

L’ouverture inter­na­tio­nale est, en effet, depuis long­temps au cœur de la stra­té­gie de l’École poly­tech­nique, qui dis­pose d’un large réseau d’universités par­te­naires à tra­vers le monde. 

La répu­ta­tion d’excellence de l’École, alliée à de fortes coopé­ra­tions inter­na­tio­nales, per­met ain­si d’attirer les meilleurs étu­diants et cher­cheurs au sein des labo­ra­toires du Centre de recherche. En par­ti­ci­pant acti­ve­ment à NewU­ni, l’École ins­crit son déve­lop­pe­ment dans un pro­jet d’envergure.

Cette future com­mu­nau­té d’universités et d’établissements trou­ve­ra natu­rel­le­ment sa place au sein des plus grandes ins­ti­tu­tions mon­diales d’enseignement supé­rieur et de recherche. 

Des partenariats étroits avec les grands établissements de classe mondiale

Depuis 2013, l’X mène un tra­vail com­plexe de recen­se­ment des col­la­bo­ra­tions de recherche. L’objectif consiste à mieux inclure les inté­rêts scien­ti­fiques dans la réflexion sur la stra­té­gie inter­na­tio­nale et de créer une com­plé­men­ta­ri­té entre les col­la­bo­ra­tions de recherche et les coopé­ra­tions internationales. 

LABORATOIRES D’EXCELLENCE

Les équipes du Centre de recherche participent également à dix « Laboratoires d’excellence », des réseaux de recherche d’excellence française destinés à favoriser les travaux de recherche communs entre des laboratoires travaillant sur des domaines connexes.
Ainsi, le Labex Ecodec s’intéresse à la thématique de la régulation de l’économie au service de la société, et le Labex Physique des deux infinis et des origines vise à répondre aux grandes questions scientifiques étudiées par la physique des particules et la cosmologie.

En déve­lop­pant ce volet de col­la­bo­ra­tion scien­ti­fique, il a été pos­sible d’identifier des oppor­tu­ni­tés de coopé­ra­tion ins­ti­tu­tion­nelle, de mieux cibler les pro­grammes de sou­tien à la mobi­li­té et d’initier de nou­velles formes de col­la­bo­ra­tion à che­val entre for­ma­tion et recherche. 

En par­ti­cu­lier, les cher­cheurs du Centre de recherche ont été accom­pa­gnés pour s’appuyer sur les pro­grammes de stages comme outil d’amorçage de nou­velles collaborations. 

Ain­si, ces deux der­nières années, ce dis­po­si­tif de stages cosu­per­vi­sés par un cher­cheur de l’X et un col­la­bo­ra­teur inter­na­tio­nal a été mis en place avec l’Institut de phy­sique et de tech­no­lo­gie de Mos­cou et l’Université poly­tech­nique de Saint-Péters­bourg Pierre-le- Grand en Rus­sie, l’université de Pise en Ita­lie, et le Tech­nion, l’Institut de tech­no­lo­gie d’Israël.

Cette démarche a per­mis d’encourager le déve­lop­pe­ment de col­la­bo­ra­tions scien­ti­fiques, et a sou­vent don­né lieu à des thèses de doc­to­rat en cotu­telle, sou­te­nues grâce aux pro­grammes d’allocations doc­to­rales pour étu­diants internationaux. 

Des programmes d’accueil de professeurs invités

La renom­mée inter­na­tio­nale d’un éta­blis­se­ment d’enseignement et de recherche passe aus­si par sa capa­ci­té à atti­rer des ensei­gnants-cher­cheurs de renom­mée inter­na­tio­nale afin d’enrichir l’enseignement et de faire pro­fi­ter aux labo­ra­toires de savoir-faire et de connais­sances recon­nues dans leur domaine. 

Plu­sieurs pro­grammes de Visi­ting pro­fes­sors per­mettent à des cher­cheurs expé­ri­men­tés de séjour­ner plu­sieurs mois au sein d’un labo­ra­toire de l’X afin de col­la­bo­rer avec les équipes de recherche et d’offrir aux étu­diants de l’École une approche d’enseignement dif­fé­rente. Ces postes de Visi­ting pro­fes­sors, sou­te­nus pour beau­coup par la Fon­da­tion de l’X, per­mettent ain­si de créer des oppor­tu­ni­tés de ren­contres et de déve­lop­pe­ment de collaborations. 

Ain­si, le pro­gramme Alliance ini­tié en 2002 avec l’université Colum­bia de New York vise à accom­pa­gner de nou­velles ini­tia­tives de coopé­ra­tion et de col­la­bo­ra­tion en matière de for­ma­tion et de recherche. Il per­met notam­ment des échanges régu­liers de cher­cheurs qui ont abou­ti à la mise en place d’équipes inter­na­tio­nales de recherche mul­ti­dis­ci­pli­naires sur des domaines très divers, de la phy­sique des hautes éner­gies aux pro­blé­ma­tiques liées aux éner­gies renou­ve­lables et aux impacts socié­taux du chan­ge­ment climatique. 

Plus récem­ment, le pro­gramme Gas­pard Monge Visi­ting pro­fes­sors a été ouvert pour atti­rer sur le cam­pus des scien­ti­fiques de renom­mée inter­na­tio­nale de tous hori­zons en leur offrant notam­ment la pos­si­bi­li­té de finan­cer des évé­ne­ments de type work­shop ou école d’été, tou­jours dans l’optique d’une ouver­ture internationale. 

Une attractivité qui repose sur l’excellence des travaux de recherche

Ces dis­po­si­tifs ne sont pos­sibles que par l’intérêt des cher­cheurs inter­na­tio­naux pour les tra­vaux de recherche menés à l’X.


Labo­ra­toire de phy­sique des inter­faces et des couches minces, élec­tro­nique grandes sur­faces (ORGATECH). © École poly­tech­nique – J. Barande

Regrou­pant 1 600 membres du per­son­nel de recherche, les 22 labo­ra­toires de l’X sont recon­nus au plan natio­nal et inter­na­tio­nal, comme en témoignent les prix et dis­tinc­tions reçus chaque année par leur per­son­nel de recherche, les bourses de l’European Research Coun­cil qui encou­ragent ces cher­cheurs talen­tueux, et les éva­lua­tions très posi­tives du Centre de recherche par le Haut Conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur. 

Ces der­nières années ont été mar­quées par des avan­cées scien­ti­fiques majeures comme la décou­verte du boson de Higgs et de la fusion d’étoiles à neu­trons détec­tée par la mesure d’ondes gra­vi­ta­tion­nelles, par la construc­tion du laser Apol­lon, par l’élaboration de nou­veaux diag­nos­tics optiques pour iden­ti­fier les cel­lules malignes, par l’acquisition et la mise en place de nou­veaux équi­pe­ments comme l’accélérateur Sirius, et par les décou­vertes majeures sur les érup­tions solaires (cf. page 8). 

Des recherches complémentaires entre connaissances fondamentales et applications sociétales

L’originalité du Centre de recherche réside dans sa capa­ci­té à pro­duire des résul­tats aus­si bien dans l’approfondissement des connais­sances fon­da­men­tales que pour répondre aux grandes ques­tions socié­tales actuelles. 

Un effort par­ti­cu­lier a ain­si été entre­pris ces der­nières années afin de mettre en valeur l’impact des pro­jets de recherche sur la socié­té en adé­qua­tion avec des sec­teurs éco­no­miques cibles : cli­mat, éner­gie, trans­port, san­té, défense, pro­duits et ser­vices numé­riques en particulier. 

La thé­ma­tique de la bio­lo­gie aux inter­faces avec les autres dis­ci­plines a éga­le­ment été ren­for­cée. Le consor­tium NewU­ni, réunis­sant des éta­blis­se­ments qui par­tagent cette vision, per­met­tra de déve­lop­per des pro­jets scien­ti­fiques ambi­tieux basés sur ses com­pé­tences propres, sur les syner­gies pos­sibles aux fron­tières de ses domaines d’excellence et repo­sant sur un socle de recherches à carac­tère fondamental. 

Au sein de cette union, le Centre de recherche encou­rage la créa­tion de pro­jets com­muns NewU­ni d’envergure, à grande visi­bi­li­té, en rap­pro­chant les équipes de recherche des partenaires. 

Une organisation thématique

Ces der­nières années – en par­ti­cu­lier dans le cadre du Contrat d’objectifs et de per­for­mance 2012–2016 de l’École poly­tech­nique – le Centre de recherche a mis en place une orga­ni­sa­tion trans­verse de sa recherche afin de répondre aux enjeux socié­taux et tech­no­lo­giques par le biais de pro­jets trans­verses et interdisciplinaires. 

En com­plé­ment de son orga­ni­sa­tion dis­ci­pli­naire tra­di­tion­nelle en neuf dépar­te­ments d’enseignement et de recherche (phy­sique, chi­mie, méca­nique, bio­lo­gie, mathé­ma­tiques, mathé­ma­tiques appli­quées, infor­ma­tique, éco­no­mie, sciences humaines et sociales), le Centre de recherche dis­pose désor­mais de huit thé­ma­tiques prioritaires : 

  • bio-ingé­nie­rie, bio­lo­gie et san­té ; concepts et méthodes pour la socié­té numérique ; 
  • éner­gies, trans­ports et envi­ron­ne­ment ; mar­chés, inno­va­tion et rela­tions science et société ; 
  • matière et lumière en condi­tions extrêmes ; 
  • modé­li­sa­tion et opti­mi­sa­tion des sys­tèmes complexes ; 
  • nanos­ciences, maté­riaux inno­vants et pro­cé­dés efficaces ; 
  • struc­tures et lois universelles. 

Cet affi­chage offre une meilleure lisi­bi­li­té de ses recherches, notam­ment auprès des par­te­naires industriels. 

Des liens forts avec les entreprises

Les col­la­bo­ra­tions avec l’industrie sont une source d’inspiration et de finan­ce­ment pour les tra­vaux de recherche, en les insé­rant dans des pro­blé­ma­tiques concrètes pour les­quelles les cher­cheurs apportent leur exper­tise afin de faire émer­ger des solu­tions innovantes. 

Laboratoire de chimie moléculaire (LCM).de l'École polytechnique
Labo­ra­toire de chi­mie molé­cu­laire (LCM). © École poly­tech­nique – J. Barande

Le Centre de recherche est doté d’un ser­vice de recherche par­te­na­riale dévoué à la valo­ri­sa­tion proac­tive de ses recherches auprès des entre­prises et des indus­triels, tout en sau­ve­gar­dant cor­rec­te­ment les actifs de l’École en matière de pro­prié­té intellectuelle. 

Dif­fé­rentes col­la­bo­ra­tions avec les entre­prises existent : trans­ferts de tech­no­lo­gie, contrats de licences, mise en place de chaires d’enseignement et de recherche, créa­tion d’équipes com­munes de recherche. Ain­si, 21 nou­velles chaires d’enseignement et de recherche ont été créées depuis 2006, trois équipes com­munes ont été mon­tées avec Total, Thales et PSA, 11 start-up issues des labo­ra­toires ont vu le jour, 160 familles de bre­vets ont été dépo­sées, et plus de 150 par­te­na­riats indus­triels étaient actifs en 2017. 

Cette forte connexion avec le monde indus­triel, à l’image d’institutions comme le MIT, est par­ta­gée avec les par­te­naires de NewU­ni et per­met au Centre de recherche de l’X de pro­duire des connais­sances et des appli­ca­tions en adé­qua­tion avec les besoins expri­més par les entre­prises partenaires. 

Rénover les installations

Dans un sou­ci d’adapter le cam­pus à ses enjeux d’attractivité et de visi­bi­li­té inter­na­tio­nale, un pro­gramme de remise à niveau sur quinze ans a été éta­bli en 2012 pour per­mettre à l’École de sou­te­nir la com­pa­rai­son avec les nou­velles construc­tions réa­li­sées dans son envi­ron­ne­ment proche. 

DE NOUVEAUX BÂTIMENTS

Plusieurs constructions sont attendues pour les prochaines années : un pôle mécanique partagé avec l’ENSTA, un site instrumental de recherche par télédétection atmosphérique dédié à l’observation du climat en collaboration avec l’Institut Pierre-Simon-Laplace, ou encore la reconstruction du Laboratoire Leprince-Ringuet suite à son déplacement pour accueillir la construction du pôle mécanique.

En effet, construit dans les années 70, le Centre de recherche a fait l’objet ces der­nières années de plu­sieurs chan­tiers de réha­bi­li­ta­tion, allant du rem­pla­ce­ment des sor­bonnes de chi­mie à la réno­va­tion des bureaux du Centre de mathé­ma­tiques appli­quées, en pas­sant par l’aménagement de salles grises, dont la pro­pre­té est contrô­lée, et par des tra­vaux de réamé­na­ge­ment de salles lasers au Labo­ra­toire pour l’utilisation des lasers intenses. 

Deux nou­velles construc­tions ont éga­le­ment vu le jour, repré­sen­tant 5 300 m2 de labo­ra­toires où se sont ins­tal­lées plu­sieurs équipes de recherche des labo­ra­toires sur les thèmes « optique et bio­lo­gie » et « phy­sique et mécanique ». 

Une croissance nécessitant des ressources propres

La stra­té­gie géné­rale de l’École s’inscrit dans une hypo­thèse de crois­sance, ouvrant des pers­pec­tives de nou­veaux déve­lop­pe­ments pour la recherche, qui néces­site un accrois­se­ment du bud­get pour le Centre de recherche. 

Les capa­ci­tés bud­gé­taires de l’État étant limi­tées, c’est sur le déve­lop­pe­ment des res­sources propres que s’appuie ce ren­for­ce­ment. Pour cela, le Centre de recherche incite les cher­cheurs à ins­crire leurs pro­jets dans le cadre d’appels d’offres natio­naux et euro­péens, afin de béné­fi­cier d’un sou­tien de l’Agence natio­nale de la recherche, des pro­grammes d’investissements d’avenir, ou encore de l’European Research Council. 

À ces finan­ce­ments publics s’ajoutent les res­sources en matière de par­te­na­riat indus­triel et de mécénat. 

En 2016, la Fon­da­tion de l’X a pro­cé­dé à une nou­velle cam­pagne de levée de fonds afin de sou­te­nir une série d’initiatives de recherche s’inscrivant dans le cadre d’une thé­ma­tique prioritaire. 

Qu’elles soient inter­dis­ci­pli­naires, inno­vantes, appli­quées ou appli­cables, ces ini­tia­tives ont pour objec­tif d’explorer des champs extrê­me­ment pro­met­teurs de la recherche afin de déve­lop­per de nou­velles connais­sances et de nou­velles applications.

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