Bridge Ghoulash

Dossier : Arts, Lettres et SciencesMagazine N°567 Septembre 2001Par : Alexandre VRACARédacteur : M. D. INDJOUDJIAN (41)

D’après l’auteur de ce livre, l’origine de l’appellation
“ ghoulash ”, pour une forme anor­male de bridge, n’aurait
rien à voir avec le plat hon­grois. Quoi qu’il en soit – et
même si, per­son­nelle­ment, je n’apprécie ni cette forme
de bridge ni ce mets –, le bridge ghoulash, marqué
essen­tielle­ment par le non-battage des cartes, a un certain
nom­bre d’adeptes et ceux-ci trou­veront dans ce petit livre
matière à des réflex­ions utiles.

Les plus fana­tiques préfèrent le “ grand ghoulash ”
auquel est con­sacrée la plus grande par­tie du livre. Ils

D’après l’auteur de ce livre, l’origine de l’appellation
“ ghoulash ”, pour une forme anor­male de bridge, n’aurait
rien à voir avec le plat hon­grois. Quoi qu’il en soit – et
même si, per­son­nelle­ment, je n’apprécie ni cette forme
de bridge ni ce mets –, le bridge ghoulash, marqué
essen­tielle­ment par le non-battage des cartes, a un certain
nom­bre d’adeptes et ceux-ci trou­veront dans ce petit livre
matière à des réflex­ions utiles.

Les plus fana­tiques préfèrent le “ grand ghoulash ”
auquel est con­sacrée la plus grande par­tie du livre. Ils
s’intéresseront aux con­seils de l’auteur sur les enchères
spé­ci­fiques de cette forme de jeu – et aus­si aux quelques
indi­ca­tions don­nées sur les par­tic­u­lar­ités induites dans le
jeu de la carte, dont l’importance par rap­port à celle des
enchères est bien moin­dre qu’en bridge normal.

Quant à l’annexe sur le “ Chica­go”, c’est-à-dire le
bridge par 4 donnes à vul­néra­bil­ité prédéter­minée, elle
sus­cite chez moi ce com­men­taire : il y a de bonnes raisons
– que je ne puis dévelop­per ici – pour préfér­er qu’à la
deux­ième et à la troisième donnes (où un camp et un
seul est vul­nérable) soit vul­nérable, non pas ce camp du
don­neur, mais l’autre.

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