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Antin : une success-story qui se confirme !

Dossier : Dossier FFEMagazine N°726 Juin/Juillet 2017
Par Stéphane IFKER (93)

Antin fête son 10e anniversaire.
Quelles sont les principales évolutions que vous avez connues ?

En 2007, Antin a été créé d’une page blanche. Aujourd’hui, nous sommes l’un des prin­ci­paux acteurs de l’investissement en infra­struc­tures en Europe. 

En 10 ans, nous avons réus­si à impos­er une philoso­phie d’investissement et une stratégie dif­féren­ciantes sur le marché. Nous avons choisi une organ­i­sa­tion cen­tral­isée pour cou­vrir l’Europe avec un peu moins de soix­ante per­son­nes répar­ties dans nos bureaux à Paris et à Londres. 

Enfin, nous avons levé 3 fonds : les deux pre­miers ont été bien investis. Huit des neuf pre­miers act­ifs du fonds ont déjà été ven­dus, per­me­t­tant de génér­er de très bons retours pour nos investisseurs. 

Vous avez une vision et une définition innovantes de l’infrastructure.
Comment cela impacte-t-il votre positionnement ?

Nous avons opté pour un posi­tion­nement à valeur ajoutée. Antin se définit comme un acteur du Pri­vate Equi­ty focal­isé sur les infrastructures. 

DEPUIS 10 ANS, NOUS RÉALISONS MAJORITAIREMENT DES TRANSACTIONS « PROPRIÉTAIRES » ET INNOVANTES QUI NOUS ONT PERMIS DE NOUS DÉMARQUER SUR LE MARCHÉ.

Notre approche repose sur l’analyse des risques. Nous avons iden­ti­fié des car­ac­téris­tiques qui vont nous per­me­t­tre de guider nos choix d’investissement : les bar­rières à l’entrée, la nature essen­tielle des ser­vices, la vis­i­bil­ité sur le long terme du cash flow, la cor­réla­tion avec l’inflation…

C’est une vision et une déf­i­ni­tion dif­férentes de celle des autres acteurs. Ain­si, nous avons une préférence pour des act­ifs avec une com­posante com­mer­ciale plus forte et des per­spec­tives de crois­sance qui ne dépen­dent pas sim­ple­ment de l’inflation ou d’une règle­men­ta­tion mais de la stratégie qu’un man­age­ment de qual­ité met en œuvre… 

Pour pou­voir exé­cuter cette stratégie, nous nous appuyons sur des équipes expertes et très seniors, capa­bles d’identifier ce type d’actifs.

Au sein d’Antin, nous prônons la respon­s­abil­i­sa­tion des équipes : les per­son­nes qui font un investisse­ment sont celles qui en sont respon­s­ables jusqu’à la sor­tie de cet investissement. 

Cette approche nous per­met de stim­uler et de pilot­er la crois­sance de nos investissements. 

Qu’en est-il de vos enjeux ?

Con­tin­uer à faire de bons investisse­ments en Europe mal­gré un marché extrême­ment com­péti­tif. Depuis 10 ans, nous réal­isons majori­taire­ment des trans­ac­tions « pro­prié­taires » et inno­vantes qui nous ont per­mis de nous démar­quer sur le marché. 

Par exem­ple, en 2008, quand nous avons fait le choix d’investir dans le secteur du matériel roulant fer­rovi­aire en Grande-Bre­tagne, beau­coup d’acteurs n’ont pas com­pris notre démarche. 

Néan­moins, nous sommes par­venus à démon­tr­er que c’était un investisse­ment dans l’infrastructure en nous appuyant sur notre vision et notre déf­i­ni­tion du secteur. 

Nous allons con­tin­uer à inve­stir dans des act­ifs qui n’attirent pas for­cé­ment les acteurs tra­di­tion­nels de ce secteur en priv­ilé­giant des trans­ac­tions négo­ciées de gré à gré qui néces­si­tent un sourc­ing plus pointu et une vision à 360°. 

Sur la quin­zaine d’investissements réal­isés grâce à nos deux pre­miers fonds, env­i­ron une douzaine étaient des trans­ac­tions bilatérales. 

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