Dominique Delise

Dossier : Arts, Lettres et SciencesMagazine N°557 Septembre 2000Par : Robert CHAPUIS (38) Avec l’assistance d’Henry OGERRédacteur : Robert CHAPUIS

Le hasard a voulu que, ces dernières années, soient décou­vertes en Nor­mandie de pré­cieuses archives que Dominique Delise (1780–1841), un offici­er des Armées impéri­ales et un par­mi tant d’autres comme lui sor­tis du rang avait lais­sées à sa famille.

Après une car­rière mil­i­taire aus­si mou­ve­men­tée qu’exemplaire, com­mencée à l’âge de quinze ans au siège de Quiberon et se ter­mi­nant comme chef de batail­lon dans la Vieille Garde lors de la cam­pagne de France, Dominique Delise, une fois devenu demi-sol­de en 1815, se révèle comme un hommes des plus cultivés.

Il a des tal­ents d’écrivain. Il a l’esprit et l’oeil du sci­en­tifique et, par l’un de ses ouvrages, il laisse encore de nos jours son nom dans la sci­ence de la botanique.

Sa vie et sa biogra­phie font hon­neur à ces deux villes de France qui lui étaient chères : Fougères, en Bre­tagne, sa ville natale, et Vire, en Cal­va­dos, qui devint en 1820 sa terre d’adoption.

Poster un commentaire