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Coface, un leader de l’assurance-crédit pour les entreprises en France et à l’international

Dossier : Dossier FFEMagazine N°723 Mars 2017
Par Xavier DURAND (83)

Pourquoi avoir choisi Coface ?

Coface est une très belle marque fran­çaise qui a une exper­tise de plus de 70 ans dans la ges­tion et l’analyse des risques de cré­dit. Son empreinte mon­diale cou­vrant 100 pays (97 % du PIB mon­dial) fait écho à mon fort inté­rêt pour l’international.

J’ai vécu en France, au Royaume-Uni, aux États-Unis, au Japon, et ai eu à gérer une tren­taine de pays au cours de ma car­rière. C’est aus­si un défi pas­sion­nant de mener la trans­for­ma­tion de cette entre­prise de plus de 4 500 per­sonnes, et de son offre pour l’adapter aux besoins de ses 50 000 clients. 

Quelles ont été vos principales actions ?

Je suis d’abord par­ti à la ren­contre des clients, des par­te­naires et des col­la­bo­ra­teurs dans 15 pays. Cela m’a per­mis d’établir un diag­nos­tic pré­cis de l’entreprise et de ses enjeux. 

J’ai ensuite lan­cé un vaste chan­tier pour éla­bo­rer un nou­veau plan stra­té­gique, Fit to Win, qui vise à posi­tion­ner Coface comme l’assureur cré­dit inter­na­tio­nal le plus agile du secteur. 

Il est le fruit d’un tra­vail interne col­la­bo­ra­tif avec toutes les régions, les métiers et des fonc­tions du groupe. 

Coface est un observateur privilégié de l’évolution des risques dans le monde.
Quelles sont les perspectives pour 2017 ?

En 2016, les entre­prises ont béné­fi­cié d’un envi­ron­ne­ment éco­no­mique glo­ba­le­ment favo­rable : poli­tique moné­taire expan­sion­niste, taux d’intérêt et prix du pétrole bas, consom­ma­tion sou­te­nue… Avec tou­te­fois des dif­fi­cul­tés dans cer­tains sec­teurs (com­mo­di­tés, mar­chés émergents…). 

Mais 2016 a sur­tout été mar­quée par des évé­ne­ments poli­tiques majeurs, comme le Brexit, la des­ti­tu­tion de Dil­ma Rous­seff, le réfé­ren­dum en Ita­lie ou encore l’élection de Donald Trump que per­sonne n’avait vrai­ment anti­ci­pés. Plus que jamais, le risque poli­tique est sur le devant de la scène et 2017 pro­met d’être encore une année riche en événements. 

C’est un des para­doxes éton­nants du monde moderne : jamais nous n’avons dis­po­sé d’autant d’informations com­plètes, pré­cises, régu­lières et fraîches. Jamais nos moyens de trai­te­ment et d’analyse de cette infor­ma­tion n’ont été aus­si puis­sants, et nos outils de modé­li­sa­tion sophistiqués. 

Et pour­tant, nous n’avons pas pu pré­voir ces der­niers évé­ne­ments poli­tiques, ou encore l’évolution des cours des matières pre­mières. Dans cet envi­ron­ne­ment dyna­mique, la com­pré­hen­sion de masses de don­nées impor­tantes est donc clé, tout comme la capa­ci­té d’adaptation rapide à des réa­li­tés changeantes. 

Pour moi, la rai­son d’être de l’assurance-crédit en géné­ral, et de Coface en par­ti­cu­lier, est donc ren­for­cée. Les entre­prises peuvent comp­ter sur nos infra­struc­tures, nos col­la­bo­ra­teurs et notre cou­ver­ture mon­diale pour ana­ly­ser, anti­ci­per et gérer leurs risques de cré­dit de manière optimale. 

La gestion des garanties publiques vient d’être confiée à Bpifrance. Que devient Coface ?

Pour Coface, ce trans­fert est sym­bo­lique, mais mineur. Cette acti­vi­té his­to­rique ne repré­sen­tait qu’environ 4 % de notre chiffre d’affaires. Nous res­tons une socié­té pri­vée qui offre aux entre­prises par­tout dans le monde des garan­ties domes­tiques ou à l’exportation, et qui fait de l’innovation un axe majeur de sa stratégie. 

Et pour conclure ?

Notre sec­teur offre aux jeunes des oppor­tu­ni­tés de car­rière inter­na­tio­nale et dyna­mique, s’appuyant sur les com­pé­tences ensei­gnées par l’École Polytechnique. 

Dans cet uni­vers fas­ci­nant, nous avons besoin de pro­fils rom­pus aux tech­no­lo­gies de l’analyse de don­nées, de la ges­tion des risques, des pro­ces­sus ou du commerce. 

Bien­ve­nue aux can­di­da­tures de talents ! 

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