Les ressources humaines : un domaine d’excellence pour les X

L’homme est la richesse cen­trale des orga­ni­sa­tions. Mettre la science, l’innovation, la tech­no­lo­gie au ser­vice de l’homme est une source d’amélioration de la richesse des entre­prises et des nations. 

Et lorsque les X s’intéressent aux res­sources humaines, les « RH », cela peut deve­nir une source d’excellence.

La « révo­lu­tion digi­tale » est main­te­nant sur toutes les lèvres, y com­pris celles de res­pon­sables qui viennent de la décou­vrir. Cer­tains évo­que­ront le « numérique ». 

“ Networking or not working ”

Dans l’acception actuelle, le « digi­tal » recouvre une réa­li­té plus large pour laquelle les termes sont plu­tôt anglo-saxons… Nous uti­li­se­rons assez indif­fé­rem­ment l’un ou l’autre terme dans ce dossier. 

Cette digi­ta­li­sa­tion impacte bien sûr toutes les acti­vi­tés de ser­vice, mais éga­le­ment les indus­tries. Nous aurions pu pen­ser que les soft skills feraient une plus grande résis­tance. En réa­li­té, l’univers des RH est de plus en plus tou­ché, et les ingé­nieurs, plus tra­di­tion­nel­le­ment por­tés vers les sciences « dures », s’intéressent aux RH. 

Inno­ver et s’adapter aux inno­va­tions est une constante de la démarche poly­tech­ni­cienne. Aux diri­geants d’aujourd’hui et à ceux de demain, il convient de don­ner des clés pour tirer par­ti de la « trans­for­ma­tion digitale ». 

Le grand enjeu est de per­mettre à cha­cun de déve­lop­per ses talents, d’acquérir une employa­bi­li­té « à vie », et d’asseoir son lea­der­ship. Et la culture digi­tale est deve­nue un pré­re­quis à l’employabilité.

Pour l’AX, le chal­lenge est de pou­voir accom­pa­gner les X dans leur déve­lop­pe­ment per­son­nel et pro­fes­sion­nel tout au long de leur carrière. 

Cela nécessite : 

• de diver­si­fier et d’amplifier les actions per­met­tant de les aider au dis­cer­ne­ment lors de leur démar­rage dans la vie professionnelle ; 
• de leur don­ner les réflexes et les outils néces­saires dans la prise de responsabilités ; 
• de leur apprendre com­ment créer et entre­te­nir un réseau de rela­tions pro­fes­sion­nelles (Net­wor­king or not wor­king) ;
• de les inci­ter à se remettre en cause en permanence ; 
• de mieux gérer l’ambiguïté des situations ; 
• de les rendre adap­tables aux évo­lu­tions de notre monde ; 
• de leur mon­trer com­ment iden­ti­fier le « job plai­sir », qui rend beau­coup plus efficace ; 
• et enfin de leur per­mettre de conser­ver une acti­vi­té pro­fes­sion­nelle tant qu’elle est souhaitée.