La maîtrise de l’innovation scientifique

Dossier : Arts, Lettres et SciencesMagazine N°581 Janvier 2003Par : Michel Mabile (66), préface de Serge FeneuilleRédacteur : JR

L’accélération des pro­grès sci­en­tifiques et la mul­ti­pli­ca­tion des échanges favorisent l’innovation tech­nologique et en font l’un des prin­ci­paux leviers de crois­sance pour les économies développées.

La mise en œuvre de pro­jets com­por­tant une large part d’innovations tech­nologiques con­duit à la prise de risques liés à la fois au car­ac­tère inno­vant des pro­duits ou des procédés, et au doute quant à la capac­ité qu’aura l’entreprise d’industrialiser de nou­velles techniques.

Ceci con­duit les décideurs à hésiter avant de s’engager dans cette voie lais­sant ain­si des start-up, sou­vent mieux armées pour faire face à ces dif­fi­cultés et gér­er ce risque, gag­n­er pro­gres­sive­ment des parts de marché et même, dans cer­tains cas, occu­per la place con­voitée de leader.

Les entre­pris­es n’auront alors d’autre choix que de ten­ter de racheter, sou­vent au prix fort, ces start-up ou de se trou­ver élim­inées de la compétition.

La maîtrise de l’innovation tech­nologique con­stitue, de ce fait, un élé­ment déter­mi­nant de toute stratégie de développe­ment. Cet ouvrage présente les règles qu’il con­vient d’observer pour réduire et con­trôler la part de risques qui sub­sis­tera dans tout développe­ment met­tant en oeu­vre une inno­va­tion tech­nologique. Illus­tré d’exemples, tirés de l’expérience de l’auteur, il se veut d’un usage et d’un abord pratiques.

Il cou­vre tous les domaines : choix de straté­gies, organ­i­sa­tion, cul­ture d’entreprise, rela­tions avec la recherche académique, ges­tion… et rassem­ble tous les élé­ments aux­quels tout dirigeant pour­ra se référer

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