VINCI Construction : “ Construire son parcours personnalisé ”

Dossier : Dossier FFEMagazine N°707 Septembre 2015
Par Amandine LASVACAS (04)

Qu’est-ce qui différencie selon vous le groupe VINCI d’autres entreprises en matière d’opportunités de début de carrière ?

La par­ti­cu­la­ri­té de VINCI Construc­tion repose sur son modèle décen­tra­li­sé. Le Groupe est for­mé de plus de 800 entre­prises qui ont été rache­tées ou créées au sein du groupe. Ces der­nières peuvent cor­res­pondre à des implan­ta­tions géo­gra­phiques dif­fé­rentes, des métiers variés (génie civil, bâti­ment, métiers de spé­cia­li­tés), ces domaines pou­vant se recouper.

Cha­cune a ses par­ti­cu­la­ri­tés, tout en tra­vaillant en réseau avec une culture de groupe commune.

Votre parcours a justement commencé dans une entreprise de VINCI…

Abso­lu­ment. Je suis entrée dans le groupe en étant recru­tée chez PETIT. Il s’agit d’une entre­prise géné­rale de 300 per­sonnes (cadres et com­pa­gnons) qui réa­lise majo­ri­tai­re­ment des chan­tiers de ter­tiaires, du bureau clas­sique aux grands chan­tiers com­plexes (Tour CMA à Mar­seille, Fon­da­tion Louis Vuit­ton, L’hôtel The Penin­su­la, etc.).

Donc j’ai le sen­ti­ment de tra­vailler dans une entre­prise à taille humaine, avec une iden­ti­té qui lui est propre et où la plu­part des gens se connaissent, ce qui per­met par exemple d’échanger des retours d’expérience entre chan­tiers. En même temps je peux m’appuyer sur les ser­vices trans­ver­saux de VINCI Construc­tion France par exemple pour avoir l’avis d’un expert dans un domaine pré­cis (acous­tique, ther­mique, déve­lop­pe­ment durable…).

En quoi le modèle que vous décrivez vous semble-t-il plus propice que d’autres au développement de belles carrières singulières ?

On entre chez VINCI par le biais d’une entre­prise en par­ti­cu­lier et on y construit son par­cours au gré du réseau pro­fes­sion­nel qu’on se crée dans le groupe au fur et à mesure des expériences.

Pas de voie toute tra­cée donc, mais l’assurance de construire son propre par­cours per­son­na­li­sé. Un peu comme la pre­mière année à l’X pour laquelle la direc­tion de l’Ecole explique au nou­veau que cette année un peu spé­ciale « sera ce que vous en ferez » !

J’aime voir les pro­jets sor­tir de terre mais je suis sur­tout pas­sion­née par la concep­tion. Ma pre­mière expé­rience pro­fes­sion­nelle a été dans un grand bureau d’études. Cela peut sur­prendre, mais je ne suis pas ren­trée chez VINCI Construc­tion France pour faire des tra­vaux ! VINCI Construc­tion France tend à pro­po­ser une offre glo­bale à ses clients.

Pour le chan­tier sur lequel je tra­vaille aujourd’hui, l’Arena Nan­terre, la pre­mière étape a été d’intégrer la coor­di­na­tion de la concep­tion au mar­ché, et d’y ajou­ter l’exploitation ou la main­te­nance en s’appuyant sur d’autres entre­prises du groupe.

Qu’est-ce qui vous anime dans ce métier ?

EN BREF

Premier groupe mondial de concessions et de construction, VINCI emploie plus de 185 000 collaborateurs dans une centaine de pays.
Le Groupe conçoit, finance, construit et gère des infrastructures et des équipements qui contribuent au développement des territoires, à l’amélioration de la vie quotidienne et à la mobilité de chacun.

C’est cette dyna­mique qui m’a fait pen­ser que je pou­vais y être à ma place ! Dans la phase concep­tion de l’Arena, j’ai coor­don­né le tra­vail des bureaux d’études. Ce qui est inté­res­sant dans un tel contexte c’est qu’on peut conce­voir en pre­nant en compte dès le début les notions de coût de construc­tion et de méthode, et ain­si limi­ter les mau­vaises sur­prises en arri­vant en phase Exécution !

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