Le principe de précaution : Bibliographie et citations

Dossier : Le principe de précautionMagazine N°673 Mars 2012

BIBLIOGRAPHIE

• Claude ALLÈGRE, Ma véri­té sur la pla­nète (Plon 2007).
• A. AURENGO, D. COUTURIER, D. LECOURT, C. SUREAU, M. TUBIANA, San­té et pré­cau­tion (PUF 2011).
• Pierre BACHER, L’Énergie en 21 ques­tions (Odile Jacob 2007).

BIBLIOGRAPHIE

• Claude ALLÈGRE, Ma véri­té sur la pla­nète (Plon 2007).
• A. AURENGO, D. COUTURIER, D. LECOURT, C. SUREAU, M. TUBIANA, San­té et pré­cau­tion (PUF 2011).
• Pierre BACHER, L’Énergie en 21 ques­tions (Odile Jacob 2007).
• Laurent CABROL, En Vert et contre tous (Cherche-Midi 2010).
• Bru­no COMBY, Le Nucléaire ave­nir de l’écologie (TNR 2000).
• Jean-Pierre DUPUY, Retour de Fuku­shi­ma, jour­nal d’un homme en colère (Seuil 2011).
• Fran­çois EWALD, C. GOLLIER, N. de SADELEER, Le Prin­cipe de pré­cau­tion (PUF 2001).
• Chris­tian GERONDEAU, CO2 un mythe pla­né­taire (Tou­can 2009).
• Oli­vier GODARD, « Le Prin­cipe de pré­cau­tion » (Ceras, revue Pro­jet, 2000) – La Ques­tion de la pré­cau­tion en milieu pro­fes­sion­nel (EDP 2006).
• Louis-Marie HOUDEBINE, OGM, le vrai et le faux (Pom­mier 2000).
• Jean-Claude JAILLETTE, Sau­ver les OGM (Hachette 2009).
• Jean-Marc JANCOVICI, Le Chan­ge­ment cli­ma­tique expli­qué à ma fille (Seuil 2009).
• Jean de KERVASDOUÉ. En finir avec les délires éco­lo­giques et sani­taires (Plon 2007).
• Phi­lippe KOURILSKY, La Science en par­tage (Odile Jacob 1998).
• Bjorn LOMBORG, L’Écologiste scep­tique (Cherche-Midi 1998–2001).
• Cécile PHILIPPE, C’est trop tard pour la terre (Lat­tès 2007).
• Bru­no REBELLE, « Bien com­prendre Jean-Pierre Dupuy quand on applique le prin­cipe de pré­cau­tion » (blog).
• Georges VENDRYÈS, Super­phé­nix, pour­quoi ? (Nucléon 1997).
• Phi­lippe VUITTON, Peur (Gnos 2005).
• Col­lec­tif, Trai­té de Pré­ven­tion (Flam­ma­rion 2009).
• Col­lec­tif, Le ciel ne va pas nous tom­ber sur la tête (Lat­tès 2010).

CITATIONS

choisies par Jacques Bourdillon (45)

Gérald BRONNER et Étienne GÉHIN, L’Inquiétant Prin­cipe de pré­cau­tion (PUF 2010)
Les par­ti­sans du prin­cipe n’ont-ils pas été impru­dents en agis­sant pour qu’une règle d’action, dont la légi­ti­mi­té est casuel­le­ment indé­niable, devienne un prin­cipe oppo­sable à toute inno­va­tion ? Il y a lieu de craindre que les bien-inten­tion­nés vigi­lants soient un jour, sans peut-être le vou­loir, les pro­mo­teurs d’un « écolo-fascisme ».
Laurent CABROL, En Vert et contre tous
Les Verts se servent des cher­cheurs et des cli­ma­to­logues pour orches­trer leur révo­lu­tion, affai­blir notre agri­cul­ture, anéan­tir notre indus­trie. Ils sont contre le nucléaire, les OGM, l’automobile, et la croissance.
Oli­vier GODARD, Poli­tique de san­té et prin­cipe de pré­cau­tion, ouvrage col­lec­tif (PUF 2011)
Le prin­cipe de pré­cau­tion est fon­dé sur l’incertitude. Il a un carac­tère pro­vi­soire et révi­sable. Il n’est pas catas­tro­phiste. Il doit exis­ter un rap­port rai­son­nable entre l’objectif pour­sui­vi et les entraves imposées.
Jean de KERVASDOUÉ, Les Prê­cheurs de l’Apocalypse (Plon 2007)
Les limites pra­tiques du prin­cipe de pré­cau­tion sont l’autre face de sa bêtise phi­lo­so­phique. Le suc­cès va au risque, pas au conservatisme.
Valé­rie PÉCRESSE, devant l’Assemblée nationale
L’extension du prin­cipe de pré­cau­tion à la san­té publique aurait pour consé­quence de para­ly­ser la recherche, toute inno­va­tion thé­ra­peu­tique pou­vant avoir des effets poten­tiel­le­ment dan­ge­reux pour l’homme.
Bru­no REBELLE
Nous n’avons pas peur des OGM, les OGM sont peut-être une mer­veilleuse solu­tion pour un cer­tain type de socié­té, mais c’est de ce pro­jet de socié­té que nous ne vou­lons pas.
Yvette VEYRET, Le ciel ne va pas nous tom­ber sur la tête
Notre socié­té est une socié­té de la peur, peur créée par les médias, les déci­deurs et cer­taines ONG, peur bien sou­vent fon­dée sur des ana­lyses super­fi­cielles ou des don­nées discutables.
Phi­lippe VUITTON
La France est le pre­mier pays et cer­tai­ne­ment le seul à recon­naître dans sa Consti­tu­tion qu’elle a peur du risque. Aux ter­reurs médié­vales, notre socié­té contem­po­raine a sub­sti­tué une obses­sion : le risque zéro.

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