La biodiversité en milieu urbain

Dossier : La biodiversitéMagazine N°616 Juin/Juillet 2006
Par Claude AUROI

Il a fal­lu attendre les grands tra­vaux urbains à la Hauss­mann pour que l’ar­rière-cour soit réduite à sa por­tion congrue, que les bâti­ments soient ali­gnés uni­for­mé­ment et bor­dés de sur­faces stric­te­ment imper­méables, le seuil, le trot­toir, l’a­ve­nue et la cour béton­née, puis gou­dron­née sur l’ar­rière. Le chat et le petit chien, ain­si que le cana­ri et la per­ruche ont sub­sis­té comme ani­maux de com­pa­gnie, et non de rap­port, et quelques fleurs ont conti­nué à orner les fenêtres. Cette concep­tion de la ville et de la vie a per­du­ré comme élé­ment domi­nant pen­dant tout le xxe siècle et com­mence seule­ment à être remise en cause depuis une quin­zaine d’années.

La sépa­ra­tion ou l’in­té­gra­tion ville-cam­pagne a ali­men­té le débat entre archi­tectes depuis un siècle, mais sur­tout entre les deux guerres.

Communauté d’agglomérations de Mantes-en-Yvelines.
Com­mu­nau­té d’agglomérations de
Mantes-en-Yve­lines. © PNR DU VEXIN

Dès la fin du xixe siècle naît le concept de cité-jar­din, éla­bo­ré d’a­bord par le Bri­tan­nique Ebe­ne­zer Howard, repris en France par Georges-Benoît Lévy, et aux États-Unis par Frank Lloyd Wright. Dans cette optique la ville doit se natu­ra­li­ser. Concrè­te­ment le mode d’ha­bi­tat prô­né est celui de mai­sons fami­liales entou­rées de jar­dins pri­va­tifs, avec un centre plus urbain abri­tant les ser­vices et com­merces. C’est un habi­tat des­ti­né avant tout aux ouvriers, qui leur per­met de culti­ver un petit lopin de terre et de se récréer, en évi­tant de pas­ser trop de temps au bis­trot ! Il y a dans cette concep­tion une forte nos­tal­gie du monde rural, et un essai d’hy­bri­da­tion entre les deux mondes, la ville et le vil­lage. Frank Lloyd Wright voyait ain­si l’en­semble des États-Unis trans­for­més en cités-jar­dins, et applau­dit lorsque Hen­ri Ford vou­lut construire une ville pavillon­naire de 120 km de long pour ses ouvriers.

On peut men­tion­ner aus­si cer­taines villes anglaises, ou ban­lieues anglaises, où le jar­din pri­va­tif a joué un grand rôle. Les exemples fran­çais sont aus­si rela­ti­ve­ment nom­breux, Argen­teuil, Sur­esnes, Stains. Il faut aus­si citer les tra­vaux de l’É­cos­sais Patrick Giddes, qui était un apôtre de la com­bi­nai­son ville-nature à l’in­té­rieur de la pre­mière, et dont la pla­ni­fi­ca­tion de Tel-Aviv dans les années 1920–1940 reste un exemple de ville agréable dans sa par­tie ancienne. L’é­cole du Bau­haus marque un moment impor­tant de réflexion sur la rela­tion habi­tat-nature, mais qui fina­le­ment a sur­tout mis l’ac­cent sur les aspects for­mels et fonc­tion­nels de la construc­tion, les ron­deurs des bal­cons étant privilégiées.

La concep­tion des cités-jar­dins n’a pas pu lut­ter contre le pro­blème de la cher­té et rare­té des ter­rains, et le fait que le déve­lop­pe­ment hori­zon­tal posait de grands pro­blèmes de trans­port. Mais il était incon­tes­ta­ble­ment un fac­teur de main­tien de la bio­di­ver­si­té et de connais­sance de la nature.

Après la Deuxième Guerre mon­diale, une autre ten­dance a misé sur la ver­ti­ca­li­té, le gratte-ciel pour les bureaux et la » barre » pour l’ha­bi­tat. Elle a don­né lieu à des réa­li­sa­tions qui sont encore visibles aujourd’hui.

Les grands exemples en sont Chan­di­ga­rh, la folie de Le Cor­bu­sier, et Bra­si­lia, celle de Nie­meyer. Le Cor­bu­sier a été le pré­cur­seur et le concep­teur de la cité-satel­lite moderne avec la Cité radieuse de Mar­seille, qui dans ses ver­sions les meilleurs mar­chés a don­né Sar­celles et les Min­guettes à Lyon, dans des ver­sions classes moyennes Échi­rolles à Gre­noble, et La Défense comme centres d’ac­ti­vi­tés. Le Cor­bu­sier a certes mis l’ac­cent sur les concepts d’es­pace (pilo­tis), d’air pur et de lumière (ter­rasses), et ain­si, dans un cer­tain sens l’hu­main s’im­pré­gnait d’en­vi­ron­ne­ment phy­sique, mais dans ce modèle le bio­lo­gique est tota­le­ment absent sur les lieux d’ha­bi­tat. La concep­tion de base de Le Cor­bu­sier était d’ailleurs expli­cite : il fal­lait sépa­rer dans l’es­pace les fonc­tions d’ha­bi­tat, de tra­vail (zones indus­trielles) et de loi­sirs (parcs récréatifs).

À Bra­si­lia le modèle a été pous­sé à son extrême puisque même les trot­toirs ont pra­ti­que­ment dis­pa­ru, les parcs sont qua­si­ment absents, et tout l’ac­cent est mis sur la faci­li­ta­tion des trans­ports, la voi­ture en prio­ri­té. On abou­tit ain­si à des villes tota­le­ment » déna­tu­ri­sées « , for­te­ment pol­luantes et pol­luées (rejet de CO2, SO2, autres gaz), uni­formes et ennuyeuses.

Frie­den­reich Hun­dert­was­ser (1928−2000) marque une vraie rup­ture avec les concep­tions linéaires de l’ar­chi­tec­ture, car il intro­duit la non-ligne, ou le seg­ment, comme élé­ment-clé. Cela crée une rup­ture de ligne per­ma­nente dans les façades, les toits et les ouver­tures, comme dans la » Cita­delle verte » de Mag­de­bourg, sa der­nière œuvre post­hume. Alors que chez Le Cor­bu­sier, Frank Lloyd Wright, le Bau­haus, Nie­meyer, Jean Nou­vel ou Mario Bot­ta le sou­ci de la non-rup­ture de conti­nui­té est mani­feste, chez Hun­dert­was­ser la diver­si­té visuelle et fonc­tion­nelle est la pré­oc­cu­pa­tion domi­nante. À cela s’a­joute chez lui une dimen­sion spi­ri­tuelle qui rompt avec le maté­ria­lisme des grands construc­teurs du xxe siècle, il remet l’ha­bi­tat dans le Cos­mos. Par là même, il réin­tro­duit les élé­ments oubliés du vivant, dont en pre­mier lieu la végé­ta­tion. Il prône les toits enher­bés, les petits jar­dins-bal­cons, les façades vertes.

À quoi peut « servir » cette nature retrouvée ?

Une dis­tinc­tion de base doit être faite d’emblée entre bio­masse et bio­di­ver­si­té. La bio­masse com­prend indis­tinc­te­ment tous les élé­ments orga­niques qui peuvent entrer dans un cycle repro­duc­tif. La bio­di­ver­si­té est l’ex­pres­sion seg­men­tée de cette bio­masse, mais per­çue dans sa tota­li­té (vision holis­tique). Le terme est nou­veau, il date de la Confé­rence de Rio sur l’en­vi­ron­ne­ment et le déve­lop­pe­ment de 1992, et depuis lors il est, avec le « déve­lop­pe­ment durable », abon­dam­ment utilisé.

La Havane
La Havane  PHOTO CLARA ETTEDGUI

La bio­di­ver­si­té peut être appré­hen­dée sous l’angle géné­tique (dif­fé­rences entre indi­vi­dus), spé­ci­fique (dif­fé­rences entre espèces) et éco­sys­té­mique (dif­fé­rences entre habi­tats bio­lo­giques ou éco­sys­tèmes)1.

Pour les milieux urbains, ce sont les deux pre­mières approches qui nous inté­ressent sur­tout, le milieu urbain étant en lui-même un éco­sys­tème. Mais on peut cer­tai­ne­ment dis­tin­guer des sous-sys­tèmes plus ou moins cohé­rents dans les grandes villes, comme des espaces de grands parcs par exemple.

Contrai­re­ment à ce que l’on pour­rait pen­ser, une ville n’est pas for­cé­ment pauvre en bio­di­ver­si­té. Des études faites en Suisse ont mon­tré qu’à Zurich (1 mil­lion d’ha­bi­tants) vivent 1 211 espèces végé­tales, soit deux fois plus d’es­pèces végé­tales que dans une zone de même sur­face du Pla­teau suisse. À Zurich tou­jours, on dénombre aus­si 4–5 000 héris­sons et la den­si­té de renards y est dix fois plus éle­vée qu’en cam­pagne2. On retrouve la même diver­si­té et den­si­té dans des villes plus grandes, comme Man­hat­tan qui a la plus forte den­si­té de fau­cons pèle­rins au monde. Les villes moyennes sont tout aus­si riches et concentrent beau­coup d’es­pèces végé­tales et ani­males sur une faible sur­face. En outre, le milieu urbain est deve­nu le refuge de nom­breuses espèces mena­cées, figu­rant sur les « Listes rouges » de l’UICN.

Cela dit, l’ar­chi­tec­ture moderne, avec sa pré­di­lec­tion pour le béton lisse, le verre et l’a­lu­mi­nium, dimi­nue les pos­si­bi­li­tés de déve­lop­pe­ment du végé­tal et des ani­maux dans les villes modernes. Moins d’an­frac­tuo­si­tés pour nicher, de pierres appa­rentes rete­nant la végé­ta­tion, de ter­rains vagues pour creu­ser des ter­riers. En outre, les habi­tats se frag­mentent et la pos­si­bi­li­té de créer des réseaux d’ha­bi­tats et de cou­loirs de che­mi­ne­ment devient pro­blé­ma­tique. Paral­lè­le­ment s’est déve­lop­pée une pol­lu­tion atmo­sphé­rique qui empêche la pousse d’es­pèces arbus­tives natio­nales et oblige donc à choi­sir tou­jours davan­tage des espèces « exo­tiques » résis­tant mieux au stress, au sel et à la chaleur.

D’a­près McKin­ney (2002)3, les plantes peuvent être divi­sées en trois groupes quant à leur com­por­te­ment face à l’ex­ten­sion des villes : les « urban avoi­ders » (qui évitent les villes), les « urban adap­ters » (qui s’a­daptent) et les « urban exploi­ters » (qui en pro­fitent). Plus une plante est avan­cée dans l’ordre de suc­ces­sion, moins elle s’a­dapte. Ce sont donc les espèces les plus com­munes et rus­tiques qui tentent leur chance, ou celles que l’homme adapte spé­cia­le­ment comme plantes ornementales.

Pour en reve­nir à la ques­tion uti­li­ta­riste « à quoi ça sert la bio­di­ver­si­té ? », il faut d’a­bord rap­pe­ler que l’homme a une ten­dance his­to­rique à repous­ser la coexis­tence avec les plantes, et sur­tout les ani­maux. Des ques­tions d’hy­giène (rats comme vec­teurs de la peste et du cho­lé­ra, blattes, puces, poux), des craintes infon­dées mais réelles (le ser­pent, l’a­rai­gnée), d’es­thé­tique (crottes) et de stan­ding (les herbes folles font » désordre ») ont conduit à une sélec­tion rigou­reuse des espèces et varié­tés admises, et du rejet des autres.

Mais on a oublié toutes les ver­tus pos­sibles de l’ex­ten­sion de la bio­di­ver­si­té dans les villes.

1. La bio­masse en géné­ral joue un rôle régu­la­teur du cli­mat, elle va rafraî­chir des atmo­sphères géné­ra­le­ment trop chaudes de 2–3 degrés dans les villes.

2. Outre la régu­la­tion ther­mique, la bio­masse humi­di­fie l’air, géné­ra­le­ment trop sec en ville.

3. Enfin, cette bio­masse absorbe et recycle le CO2 émis en trop grandes quan­ti­tés, et un bon nombre de plantes peuvent jouer un rôle de régu­la­ri­sa­tion de l’é­mis­sion d’autres gaz à effet de serre.

4. La bio­di­ver­si­té en tant que telle a un rôle d’é­qui­li­brage et de régu­la­tion de nom­breuses espèces inter-reliées par les chaînes tro­phiques et d’autres rela­tions sys­té­miques. Le chat mange les sou­ris, mais les rapaces aus­si. La bio­di­ver­si­té est éga­le­ment un fac­teur d’é­mo­tion saine et d’é­qui­libre interne pour l’homme4. Enfin il ne faut jamais oublier le fac­teur esthé­tique de la nature, le plai­sir de la vue et des autres sens, et le fac­teur ludique, comme les pro­me­nades à dos de poney pour les enfants.

On peut natu­rel­le­ment trou­ver d’autres avan­tages à la bio­di­ver­si­té en milieu urbain, mais l’ef­fort à faire est de les pla­cer tous dans une pers­pec­tive cohé­rente de l’a­mé­na­ge­ment urbain futur, et non pas de les voir comme des élé­ments dis­per­sés. Cette pers­pec­tive doit aus­si être réa­liste, il ne s’a­git pas de retour­ner le plus pos­sible à un » état de nature rous­seauiste » qui n’a pro­ba­ble­ment jamais existé.

Il ne s’a­git pas non plus de sup­pri­mer la ville, ou de recréer des cités-jar­dins auto­suf­fi­santes, mais il s’a­git de ver­dir la ville, dans une approche fonc­tion­nelle, éco­no­mique, esthé­tique et ludique. Pour cela il faut avoir en tête un modèle qui va au-delà de mesures par­tielles comme le ver­dis­se­ment des toits, l’ex­ten­sion végé­tale ou la créa­tion de prai­ries de compensation.

Le concept qui doit nous gui­der doit s’ap­puyer sur une théo­rie de l’homme et de la nature inté­grant l’un et l’autre et l’un à l’autre. Il doit aus­si se conce­voir dans une pers­pec­tive de dura­bi­li­té et d’é­qui­libre. Enfin il doit être holis­tique, tou­cher à tous les domaines de l’ur­bain, et pas seule­ment à la biodiversité.

Cette éco­lo­gie urbaine, ou de déve­lop­pe­ment urbain durable, part des cycles natu­rels (car­bone, azote, eau) et tente de les trans­crire dans un milieu, l’ur­bain, qui nor­ma­le­ment les per­turbe. Ou bien il les accroît déme­su­ré­ment, ren­dant la ville irres­pi­rable ou insa­lubre (déchets non ou mal éli­mi­nés), ou bien il les épuise, comme l’eau et l’oxy­gène, deve­nant un milieu émi­nem­ment patho­gène. Il faut donc conce­voir une ville qui émet moins ou pas du tout de sur­charge des cycles natu­rels, et une ville qui recycle les déchets et l’éner­gie poten­tielle déga­gée.

Comment valoriser la biodiversité urbaine ?

Pra­ti­que­ment, si l’on veut être effi­cient, des mesures dras­tiques devront être prises dans les centres urbains dans très peu de temps. La voi­ture devra pro­ba­ble­ment être can­ton­née en péri­phé­rie, les éco­no­mies d’éner­gie en chauf­fage vont entraî­ner des coûts éle­vés de trans­for­ma­tion des sys­tèmes éner­gé­tiques (solaires), de ven­ti­la­tion et de réuti­li­sa­tion des émis­sions de cha­leur (recy­clage). Les maté­riaux et les concepts de construc­tions devront évo­luer vers la dura­bi­li­té, la mise en com­mun accé­lé­rée d’é­qui­pe­ments (notam­ment déchet­te­ries diver­si­fiées, com­pos­tage) dans les immeubles.

En matière d’ar­chi­tec­ture éco­lo­gique il existe déjà plu­sieurs ini­tia­tives et labels, dans plu­sieurs pays euro­péens, par exemple le label Miner­gie5 en Suisse, le HQE (Haute qua­li­té envi­ron­ne­men­tale) et le réseau Eco­ba­tiren France, le Bed­ding­ton ero Ener­gy Deve­lop­ment (BEDZED)7 en Grande-Bre­tagne, le quar­tier Vau­ban à Fri­bourg-en-Bris­gau. La res­tric­tion prin­ci­pale des pro­jets inté­grant plu­sieurs variables éco­lo­giques est qu’ils concernent sur­tout des mai­sons par­ti­cu­lières, ou de petits immeubles, et essen­tiel­le­ment des construc­tions neuves. Il est beau­coup plus dif­fi­cile, et sur­tout beau­coup plus coû­teux, de réa­li­ser des opé­ra­tions glo­bales dans du tis­su urbain ancien.

Il est cer­tain que les immeubles exis­tants ne peuvent pas être détruits et recons­truits sys­té­ma­ti­que­ment. Ils sont sou­vent pro­té­gés en tant que monu­ments his­to­riques, leur des­truc­tion sou­lève de nom­breuses oppo­si­tions citoyennes. Un plan dif­fé­ren­tiel devra donc être mis en route selon le type d’ha­bi­tat, mais il paraît évident qu’à moyen terme il fau­dra sou­vent choi­sir entre la pré­ser­va­tion roman­tique du vétuste et la recréa­tion d’un habi­tat urbain durable.

Pour la bio­di­ver­si­té, elle devra être, pour sa fonc­tion cli­ma­tique impor­tante, tota­le­ment inté­grée. Le ver­dis­se­ment des toits et de cer­taines façades devra être un aspect essen­tiel des concours d’ar­chi­tec­ture, et incor­po­ré aux règle­ments de construc­tion. Les parcs à gazon uni­forme seront trans­for­més en bio­topes diver­si­fiés, avec zones humides, talus, mas­sifs rocheux et prai­ries natu­relles. Des liens entre les dif­fé­rents bio­topes et habi­tats natu­rels des villes seront amé­na­gés, des pas­se­relles per­met­tront de pas­ser d’un toit à l’autre, les oiseaux auront leurs cor­niches et nichoirs, des ter­rasses ombra­gées et plan­tées » d’al­ti­tude » abri­te­ront cafés et bis­trots, arti­sans et groupes musi­caux. La ville ne sera pas détruite, mais » dura­bi­li­sée » et, para­doxa­le­ment, humanisée.

Les uto­pies avancent len­te­ment, mais sûrement.

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1. Auroi, Claude, La diver­si­té bio­lo­gique, ou la vie en péril, Genève, Georg-Socié­té pour la pro­tec­tion de l’en­vi­ron­ne­ment, 1992.
2. Lan­dolt, E. 2001, Flo­ra der Stadt Zürich, Bâle, Bir­khäu­ser Ver­lag. Cf. aus­si le numé­ro de Hots­pot, revue du Forum Bio­di­ver­si­té Suisse (Berne), n° 8, octobre 2003, « Bio­di­ver­si­té en milieu urbain ». Il est à com­man­der à : biodiversity@sanw.unibe.ch
3. McKin­ney, M. L. 2002, » Urba­ni­za­tion, Bio­di­ver­si­ty and Conser­va­tion « , Bios­cience 52, 883–890.
4. Chaque matin, du prin­temps à l’au­tomne, un merle chante dans mon jar­din à six et à dix-huit heures. L’en­tendre et l’é­cou­ter est deve­nu pour moi un fac­teur d’a­pai­se­ment impor­tant depuis que je me suis ren­du compte de sa présence.
5. www.minergie.ch
6. www.reseau-ecobatir.asso.fr
7. www.bedzed.org.uk

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