Assurance : comptabilité, réglementation, actuariat

Dossier : Arts, Lettres et SciencesMagazine N°560 Décembre 2000Par : Alain TOSETTI (64), Thomas BÉHAR, Michel FROMENTEAU et Stéphane MÉNARTRédacteur : Pierre PETAUTON (57)

Je recom­mande la lec­ture de cet ouvrage, à la fois à ceux qui veulent abor­der avec sérieux la connais­sance de la tech­nique de l’assurance, et à ceux qui sont déjà ini­tiés et dési­rent actua­li­ser leur savoir.

Le titre est expli­cite sur le conte­nu géné­ra­liste et pro­fes­sion­nel ; il s’agit de relier entre elles les dif­fé­rentes façons de décrire l’activité d’assurance : la comp­ta­bi­li­té qui vous rat­tache aux réa­li­tés finan­cières, la régle­men­ta­tion qui fixe pour la France, dans un cadre euro­péen, les grands prin­cipes d’une tech­nique par­ti­cu­lière appe­lée l’actuariat.

Cette

Je recom­mande la lec­ture de cet ouvrage, à la fois à ceux qui veulent abor­der avec sérieux la connais­sance de la tech­nique de l’assurance, et à ceux qui sont déjà ini­tiés et dési­rent actua­li­ser leur savoir.

Le titre est expli­cite sur le conte­nu géné­ra­liste et pro­fes­sion­nel ; il s’agit de relier entre elles les dif­fé­rentes façons de décrire l’activité d’assurance : la comp­ta­bi­li­té qui vous rat­tache aux réa­li­tés finan­cières, la régle­men­ta­tion qui fixe pour la France, dans un cadre euro­péen, les grands prin­cipes d’une tech­nique par­ti­cu­lière appe­lée l’actuariat.

Cette vue syn­thé­tique est don­née par un quar­te­ron de com­mis­saires contrô­leurs, actuaires du gou­ver­ne­ment, dont les habi­tudes de fré­quen­ta­tion des socié­tés d’assurance sont le garant d’une appré­cia­tion per­ti­nente des pro­blèmes actuels rencontrés.

Sou­li­gnons que l’exposé pos­sède une carac­té­ris­tique deve­nue très rare qui est de pas­ser des idées géné­rales aux appli­ca­tions concrètes sans sim­pli­fi­ca­tions abu­sives ou rac­cour­cis ellip­tiques. Ain­si l’ouvrage ne s’adresse pas à des lec­teurs fri­voles et il plai­ra sans doute par­ti­cu­liè­re­ment à ceux qui ont le goût de la démons­tra­tion concrète, même s’il est abor­dable sans connais­sance mathé­ma­tique de haut niveau.

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