Apprivoiser l’iceberg émotionnel, Voyage au cœur de la psyché

Apprivoiser l’iceberg émotionnel, Voyage au cœur de la psyché

Dossier : Arts, lettres et sciencesMagazine N°763 Mars 2021Par : Mathilde Laguës (97)Rédacteur : Séverine Bournaud (99)Editeur : MA Éditions, janvier 2021

Apprivoiser l’iceberg émotionnel, Voyage au cœur de la psychéMathilde Laguës , auteure d’Appri­voi­ser l’i­ce­berg émo­tion­nel, voyage au cœur de la psy­chée, a choi­si de se spé­cia­li­ser dans la rela­tion d’accompagnement, qu’elle soit à voca­tion pro­fes­sion­nelle (le coa­ching) ou à visée thé­ra­peu­tique (la psychothérapie).

Ce rap­pro­che­ment entre coa­ching, issu d’une demande de l’entreprise dans un cadre pré­cis, et psy­cho­thé­ra­pie, qui répond à un besoin sou­vent plus flou d’une per­sonne en situa­tion de mal-être, peut sur­prendre : il s’agit en réa­li­té de deux facettes d’un même métier, dont l’objectif est de sou­la­ger la per­sonne, et per­mettre ain­si à la crois­sance de reprendre son cours.

L’auteure nous pré­sente sa démarche, qui se veut prag­ma­tique, utile et effi­cace. Sans langue de bois ni jar­gon, elle livre ses moti­va­tions, ses ques­tion­ne­ments, ses méthodes. En nous ouvrant à la fois les portes de son cabi­net et de sa pra­tique en entre­prise, elle entre­mêle les situa­tions, les expé­riences, et c’est pas­sion­nant. « C’est la rela­tion qui importe », souligne-t-elle.

La qua­li­té de la rela­tion, qui libère la parole et per­met à l’émotion d’éclore. Si les com­pé­tences du pra­ti­cien et les dif­fé­rents outils employés ont leur impor­tance, l’essentiel réside dans sa bien­veillance, sa confiance abso­lue en la capa­ci­té de la per­sonne accom­pa­gnée à résoudre elle-même son pro­blème. Car, même si la vie nous mal­mène au tra­vers de méandres dont la rai­son pro­fonde nous échappe, elle trouve tou­jours un chemin.

Mer­ci à Mathilde Laguës pour ce voyage au cœur de la psy­ché, ce livre éclai­rant, pro­fon­dé­ment humain, empli d’espoir qu’un mieux-être est pos­sible pour autant que l’on se donne le temps et les moyens d’appri­voi­ser l’iceberg émo­tion­nel qui est en nous.

Poster un commentaire