Pendant la crise, la communauté reste mobilisée

Pendant la crise, la communauté reste mobilisée

Dossier : Le mot du présidentMagazine N°759 Novembre 2020
Par Marwan LAHOUD (X83)

Novembre a tou­jours été pour moi un mois triste ! 2020 ne déroge pas à la règle, tant les nuages s’amoncellent, qu’il s’agisse de ten­sions géo­po­li­tiques, de menaces ter­ro­ristes ou bien sûr de la situa­tion sani­taire et de la crise éco­no­mique mon­diale qui en résulte. Dans tous ces domaines, des cama­rades œuvrent pour que notre pays conserve un rang de grande puis­sance. Quelques évé­ne­ments poli­ti­co-mili­taires récents me poussent à dis­tin­guer, sans que cela cor­res­ponde à une quel­conque hié­rar­chie ou pré­fé­rence, ceux de nos cama­rades qui y contribuent.

Dans un envi­ron­ne­ment sani­taire extrê­me­ment contraint, les dif­fé­rentes ren­trées et incor­po­ra­tions se sont effec­tuées à l’X, et les études ont repris dans un mode mixte entre le pré­sen­tiel et le vir­tuel. Le conseil d’administration de l’École a enga­gé la réflexion sur l’évolution du cycle poly­tech­ni­cien, dont la der­nière réforme date de l’an 2000. J’aurai l’honneur de par­ti­ci­per aux tra­vaux et de por­ter la voix des anciens et leur sou­ci de conci­lier moder­ni­té, per­for­mances et traditions.

« Porter la voix des anciens et leur souci de concilier modernité, performances et traditions. »

Je fini­rai ce mot de novembre par quelques nou­velles de notre asso­cia­tion. Les chan­ge­ments de gou­ver­nance se pour­suivent. Tout d’abord, Denis Ranque (70), après avoir pré­si­dé, en 2019–2020, le comi­té de recru­te­ment du conseil de l’AX, a sou­hai­té lais­ser cette res­pon­sa­bi­li­té à un autre membre du conseil ; c’était une indi­ca­tion qu’il m’avait don­né en accep­tant ce rôle il y a plus d’un an : « D’accord pour démar­rer, mais dans un an je prends le large. » Mer­ci Denis et bon vent !

Jean-Pierre Mus­tier (81) qui a rejoint notre conseil en juin der­nier a accep­té de prendre la relève. Dans la même veine, Xavier Plo­quin (2007), qui avait lui aus­si contri­bué gran­de­ment, au sein du même comi­té, au rajeu­nis­se­ment de notre conseil, dont le man­dat n’était pas renou­ve­lable en juin der­nier, est rem­pla­cé par Jéré­my Har­roch (2003). Le comi­té va donc pou­voir démar­rer ses tra­vaux afin que nous puis­sions pour­voir au renou­vel­le­ment de nos ins­tances, main­te­nant que nos textes nous per­mettent un plus grand choix. 

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