Qualité totale, et plus encore

Dossier : Arts, Lettres et SciencesMagazine N°618 Octobre 2006Par : Jean-Marie GogueRédacteur : JR

Le mana­ge­ment de la qua­li­té est appa­ru aux États- Unis en 1930. Il a été intro­duit au Japon en 1950 par deux Amé­ri­cains, Deming et Juran. En quelques années, alors que les diri­geants amé­ri­cains inter­pré­taient le concept de façon lourde et pro­cé­du­rière, les diri­geants japo­nais ont com­pris qu’ils pou­vaient s’en ser­vir pour créer un for­mi­dable outil au ser­vice de leur poli­tique d’expansion éco­no­mique. Ils y ont par­fai­te­ment réus­si et ont fait école en Extrême-Orient.

La France a sui­vi une voie médiane, mais elle peut faire beau­coup mieux à condi­tion de reve­nir aux fon­da­men­taux. Une démarche qua­li­té bien com­prise per­met de résoudre beau­coup de pro­blèmes rela­tion­nels dans le tra­vail, donne de meilleurs pro­duits en rédui­sant les prix de revient, et aug­mente les parts de mar­ché. Cette démarche favo­rise aus­si les action­naires, car elle fait fruc­ti­fier leur capital.

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