Célébration des fêtes nationales étrangères

Dossier : ExpressionsMagazine N°568 Octobre 2001

L’école poly­tech­nique est aujourd’hui une ins­ti­tu­tion lar­ge­ment ouverte sur le monde. Près de cin­quante nations y sont repré­sen­tées à tra­vers les élèves, étu­diants, ensei­gnants et cher­cheurs étran­gers qui s’y trouvent. Pour témoi­gner à ces per­sonnes de natio­na­li­tés dif­fé­rentes l’importance qu’elle attache à leur pré­sence, la direc­tion de l’École a déci­dé d’organiser une céré­mo­nie à l’occasion de la fête natio­nale de leurs pays respectifs.

Trois céré­mo­nies ont eu lieu à ce jour. Elles ont asso­cié des pays dont les fêtes natio­nales étaient voi­sines sur le calen­drier. La pre­mière céré­mo­nie s’est dérou­lée le 22 mai, en l’honneur de la Grande-Bre­tagne et du Came­roun, pays offi­ciel­le­ment fêtés le 20 mai ; le 12 juin ont été hono­rées la Suède (fête natio­nale le 6 juin) et la Rus­sie (fête natio­nale le jour même) ; et le 22 juin le Cana­da (fête natio­nale le 1er juillet) et le Vene­zue­la (fête natio­nale le 5 juillet).

Pré­si­dées par le géné­ral de Noma­zy, direc­teur géné­ral, ou le colo­nel Mar­tin, chef de corps, ces céré­mo­nies réunissent autour de ces auto­ri­tés les membres du comi­té exé­cu­tif, dont Roland Sénéor, direc­teur des rela­tions exté­rieures, les com­man­dants des pro­mo­tions pré­sentes sur le site à savoir les lieu­te­nants-colo­nels Fran­ces­chi (X 99) et Car­rière (X 2000), Nico­las Jul­lien de Pome­rol, pré­sident du binet mili­taire et Maxime For­tin, kes­sier inter­na­tio­nal, aux­quels se joignent des cadres mili­taires, des élèves, voire des per­son­nels du contingent.

Inutile de pré­ci­ser que les pro­fes­seurs, cher­cheurs et thé­sards des natio­na­li­tés fêtées ce jour-là sont cor­dia­le­ment invités.

Favo­ri­ser l’intégration du per­son­nel étran­ger à la vie de l’École est l’un des objec­tifs de ces manifestations.

Célé­brées à par­tir de 8 heures, à hau­teur des mâts des cou­leurs situés à l’entrée de la cour Vaneau, ces céré­mo­nies sont sui­vies d’un petit-déjeu­ner, au ser­vice res­tau­ra­tion, qui réunit la tota­li­té des participants.

Ce ras­sem­ble­ment convi­vial débute par une courte allo­cu­tion, pro­non­cée par un élève de cha­cune des natio­na­li­tés à l’honneur. Cet expo­sé relate les évé­ne­ments his­to­riques et cultu­rels com­mé­mo­rés au tra­vers de la fête natio­nale du pays. Après avoir flot­té toute la jour­née les pavillons sont des­cen­dus à la nuit tombée.

Les céré­mo­nies n’ont pas for­cé­ment lieu le jour offi­ciel de la fête natio­nale. Pour des rai­sons pra­tiques jusqu’à trois fêtes natio­nales peuvent être com­mé­mo­rées le même jour. Dans ce cas la date rete­nue tient compte de la proxi­mi­té des dates officielles.

Mercredi 3 octobre :

céré­mo­nie en l’honneur de la Chine, de la Corée du Sud et du Kaza­khs­tan, 8 heures, Cour Vaneau.

Vendredi 30 novembre :

céré­mo­nie en l’honneur du Liban, de la Rou­ma­nie et de la Côte‑d’Ivoire, 8 heures, Cour Vaneau.

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